Il me semble que Callas chante la même version partout mais rajoute plus de suraigus lors du live de la Scala en 56 (normalement dans « Contro un cor » et un contre ré lors du final de l’opéra)Loïs a écrit : ↑14 févr. 2020, 11:51je réagissais par rapport à la discussion MET/ONP. Pour ce cas particulier, il faut peut être voir cela du côté du chef ou de son côté à elle : Callas avait enregistré et donné en concert la version avec aigu mais avait opté pour la version basse lors de la série de représentations à la Scala et l'enregistrement officielPlacidoCarrerotti a écrit : ↑14 févr. 2020, 11:49Et donc, comme il y a eu des répétitions longues ils n’ont pas eu l’occasion de transposer vers l’aigu les airs de Rosine ?!?Loïs a écrit : ↑14 févr. 2020, 11:14Est ce que ce n'est pas plutôt l'occasion? Paris travaille avec des répétitions longues (Alagna dans Tovatore ou Villazon dans la Bohème) alors que le MET est plus habitué à gérer du répertoire avec des chanteurs arrivant au dernier moment?PlacidoCarrerotti a écrit : ↑14 févr. 2020, 11:00L'excellence de l'orchestre ne va pas jusqu'à transposer à la volée comme cela se pratique au Met, par exemple pour des "Pira" dans le ton ou pas suivant le titulaire ou le remplaçant.
Rossini - Le Barbier de Séville - Montanaro/Michieletto - 0NP - 01/02/2020
Re: Rossini - Le Barbier de Séville - Montanaro/Michieletto - 0NP - 01/02/2020
« L’opéra est comme l’amour : on s’y ennuie mais on y retourne » (Flaubert)
Re: Rossini - Le Barbier de Séville - Montanaro/Michieletto - 0NP - 01/02/2020
Elle avait enregistré una voce poco da en aigu apres son enregistrement officiel du rôle intégralraph13 a écrit : ↑14 févr. 2020, 19:19Il me semble que Callas chante la même version partout mais rajoute plus de suraigus lors du live de la Scala en 56 (normalement dans « Contro un cor » et un contre ré lors du final de l’opéra)Loïs a écrit : ↑14 févr. 2020, 11:51je réagissais par rapport à la discussion MET/ONP. Pour ce cas particulier, il faut peut être voir cela du côté du chef ou de son côté à elle : Callas avait enregistré et donné en concert la version avec aigu mais avait opté pour la version basse lors de la série de représentations à la Scala et l'enregistrement officielPlacidoCarrerotti a écrit : ↑14 févr. 2020, 11:49Et donc, comme il y a eu des répétitions longues ils n’ont pas eu l’occasion de transposer vers l’aigu les airs de Rosine ?!?Loïs a écrit : ↑14 févr. 2020, 11:14Est ce que ce n'est pas plutôt l'occasion? Paris travaille avec des répétitions longues (Alagna dans Tovatore ou Villazon dans la Bohème) alors que le MET est plus habitué à gérer du répertoire avec des chanteurs arrivant au dernier moment?PlacidoCarrerotti a écrit : ↑14 févr. 2020, 11:00L'excellence de l'orchestre ne va pas jusqu'à transposer à la volée comme cela se pratique au Met, par exemple pour des "Pira" dans le ton ou pas suivant le titulaire ou le remplaçant.
Re: Rossini - Le Barbier de Séville - Montanaro/Michieletto - 0NP - 01/02/2020
On ne rappellera jamais assez que le Barbier en version soprano (et non mezzo) est musicologiquement valable puisque décidé aussi par Rossini lui-même dans une édition ultérieure.
Re: Rossini - Le Barbier de Séville - Montanaro/Michieletto - 0NP - 01/02/2020
L’air a été enregistré pour son album « Operatic arias » en sept 54, et l’intégrale en janvier 57.Loïs a écrit : ↑14 févr. 2020, 20:18Elle avait enregistré una voce poco da en aigu apres son enregistrement officiel du rôle intégralraph13 a écrit : ↑14 févr. 2020, 19:19Il me semble que Callas chante la même version partout mais rajoute plus de suraigus lors du live de la Scala en 56 (normalement dans « Contro un cor » et un contre ré lors du final de l’opéra)Loïs a écrit : ↑14 févr. 2020, 11:51je réagissais par rapport à la discussion MET/ONP. Pour ce cas particulier, il faut peut être voir cela du côté du chef ou de son côté à elle : Callas avait enregistré et donné en concert la version avec aigu mais avait opté pour la version basse lors de la série de représentations à la Scala et l'enregistrement officielPlacidoCarrerotti a écrit : ↑14 févr. 2020, 11:49Et donc, comme il y a eu des répétitions longues ils n’ont pas eu l’occasion de transposer vers l’aigu les airs de Rosine ?!?Loïs a écrit : ↑14 févr. 2020, 11:14Est ce que ce n'est pas plutôt l'occasion? Paris travaille avec des répétitions longues (Alagna dans Tovatore ou Villazon dans la Bohème) alors que le MET est plus habitué à gérer du répertoire avec des chanteurs arrivant au dernier moment?PlacidoCarrerotti a écrit : ↑14 févr. 2020, 11:00L'excellence de l'orchestre ne va pas jusqu'à transposer à la volée comme cela se pratique au Met, par exemple pour des "Pira" dans le ton ou pas suivant le titulaire ou le remplaçant.
Dans les deux cas c’est la même tonalité (je viens de vérifier).
« L’opéra est comme l’amour : on s’y ennuie mais on y retourne » (Flaubert)
Re: Rossini - Le Barbier de Séville - Montanaro/Michieletto - 0NP - 01/02/2020
Exact, il s'agit d'aigus rajoutés. Cela m' a permis de me replonger dans ces enregistrements que je n'avais plus touchés depuis fort longtemps et me rappelle que je n'ai jamais entendu le Fonit Cetra de 1956.
Re: Rossini - Le Barbier de Séville - Montanaro/Michieletto - 0NP - 01/02/2020
Oui mais dans ce cas il faut aussi chanter « Ah se è ver » rajouté pour Fodor-Mainvielle, sinon l’intérêt me semble limité !
« L’opéra est comme l’amour : on s’y ennuie mais on y retourne » (Flaubert)