Ta manière de raisonner est quand même très spéciale... Qu'il y ait toujours eu des incendies de brousse au moment des fortes chaleurs n'est évidemment pas un scoop. C'est bien l'ampleur qui est en cause et s'il faut remonter à 1851 pour trouver ampleur comparable (à cette étape puisque celui de 2019-20 n'est pas terminé ), cela signifie très clairement que les incendies actuels ... n'ont pas d'équivalent. En 2019 nous disposons de moyens aériens et humains absolument incomparables pour arrêter un incendie de brousse ou au moins le circonscrire, en limiter la portée et l'extension, alors qu'en 1851, dans des zones inhabitées beaucoup plus considérables, l'incendie ne pouvait pas être combattu et s'arrêtait donc, pour l'essentiel, de lui-même avec le retour des pluies et/ou la baisse des températures. L'incapacité de stopper ou de limiter la catastrophe en marche classe celle-ci, en rapport avec les moyens des pompiers/armée/flotte/aviation actuels, comme totalement hors norme.David-Opera a écrit : ↑05 janv. 2020, 13:17Pour ton information, en 1851 l'Australie a connu un incendie de taille comparable dans la même région. Emile Zola avait 10 ans, et Verdi n'avait pas encore composé la Traviata.
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Incendi ... _Australie
Puisque ces phénomènes sont inéluctables depuis plus de 150 ans ( et je doute que Trump y soit pour quelque chose â cette époque là) la réflexion doit porter sur comment agir plus vite et avec quels moyens .
Ces phénomènes ne sont pas inéluctables et c'est bien ce que dit le rapport du GIEC (voir ci dessus) et ce que conteste les climato- sceptiques comme le gouvernement australien. Les conclusions du rapport de GIEC (plus alarmistes chaque année à chaque révision) obligent à réfléchir à un autre modèle de développement....