Elīna Garanča
Re: Elīna Garanča
Je me sens un vrai groupie d'Elina vu que le dernier post sur elle vient aussi de moi.
Vu hier soir en concert à Essen (Allemagne). Ce concert fait partie d'une tournée qui l'amènera aussi à Anvers (septembre) et Paris (octobre) où je serai aussi (confirmant mon image de groupie).
Le concert était loin d'être sold out, toute la partie derrière l'orchestre est restée vide. Mon voisin me disait qu'il n'avait vu la salle sold out qu'une seule fois. Devinez... et oui, pour la Netrebko.
Le programme: Verdi avant l'entracte, Zarzuela après. Donc pas vraiment un programme de rêve mais quand on est fan, on avale tout. Il faut dire que, heureusement, tout cela reste très abordable question prix.
Avant l'entracte 2 airs d'Eboli dont bien sûr le divin O Don Fatale où elle a encore une fois excellé (star de Don Carlos à Paris l'année passée oblige). La mamma morta entre les 2. Elina à son meilleur, comme d'habitude. Des graves à vous donner la sueur froide et des aigus chauds et ronds.
La zarzuela: pas fan mais j'ai pris beaucoup de plaisir à entendre sa voix magnifique. Quelques airs connus: No puede ser, Granada et encore un autre dont j'oublie le nom.
Public debout.
Et le mari (le chef d'orchestre Karl Mark Chichon) ? Beaucoup de mérite, je dois avouer. Il a vraiment tout fait pour s'élever au-delà du niveau des utilités et cela avec un orchestre superbe. Enthousiasme, énergie, aucune trace de routine. Bravo ! Il a d'ailleurs été applaudi autant que sa femme. Surtout après l'entracte où je n'étais manifestement pas le seul à ne pas être grand fan de zarzuela...
Vu hier soir en concert à Essen (Allemagne). Ce concert fait partie d'une tournée qui l'amènera aussi à Anvers (septembre) et Paris (octobre) où je serai aussi (confirmant mon image de groupie).
Le concert était loin d'être sold out, toute la partie derrière l'orchestre est restée vide. Mon voisin me disait qu'il n'avait vu la salle sold out qu'une seule fois. Devinez... et oui, pour la Netrebko.
Le programme: Verdi avant l'entracte, Zarzuela après. Donc pas vraiment un programme de rêve mais quand on est fan, on avale tout. Il faut dire que, heureusement, tout cela reste très abordable question prix.
Avant l'entracte 2 airs d'Eboli dont bien sûr le divin O Don Fatale où elle a encore une fois excellé (star de Don Carlos à Paris l'année passée oblige). La mamma morta entre les 2. Elina à son meilleur, comme d'habitude. Des graves à vous donner la sueur froide et des aigus chauds et ronds.
La zarzuela: pas fan mais j'ai pris beaucoup de plaisir à entendre sa voix magnifique. Quelques airs connus: No puede ser, Granada et encore un autre dont j'oublie le nom.
Public debout.
Et le mari (le chef d'orchestre Karl Mark Chichon) ? Beaucoup de mérite, je dois avouer. Il a vraiment tout fait pour s'élever au-delà du niveau des utilités et cela avec un orchestre superbe. Enthousiasme, énergie, aucune trace de routine. Bravo ! Il a d'ailleurs été applaudi autant que sa femme. Surtout après l'entracte où je n'étais manifestement pas le seul à ne pas être grand fan de zarzuela...
Re: Elīna Garanča
Après le premier air d'Adriana Lecouvreur, voici un autre ajout du répertoire de soprano à son répertoire...
Est-ce qu'on se dirige vers une "reconversion" façon Verrett ou Bumbry ?
« L’opéra est comme l’amour : on s’y ennuie mais on y retourne » (Flaubert)
Re: Elīna Garanča
Ce n'est pas si récent que ça: cela date déjà de son CD (Revive) sorti en 2016 où elle a enregistré le même air.
Re: Elīna Garanča
Je ne me répéterai pas (cf mon post du 27 mai ci-dessus) mais hier soir à Anvers, Élina était encore dans une forme éblouissante. Même programme. Standing ovation évidemment pour cette artiste magnifique qui nous a gratifié d’un bis additionnel vs Essen avec ´l’amour est un oiseau rebelle’. Dommage que j’ai un empêchement pour son concert à Paris.
Re: Elīna Garanča
dommage...
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Re: Elīna Garanča
Comme l'indique Wim dans les posts ci-dessus, Elīna Garanča est en tournée avec le Deutsche Staatsphilharmonie Rheinland-Pfalz sous la direction de Karel Mark Chichon :
Reste à venir :
Bad Wörishofen (festival des nations), le 6 octobre
Ludwigshafen, le 8 octobre
Bratislava le 12 octobre
Paris TCE, le 14 octobre
Retour à Paris, donc, après sa brillante Eboli dans le Don Carlos "5 étoiles" d'il y a deux ans à Paris Bastille...
Le programme est le suivant :
Verdi Luisa Miller, ouverture
« Nel giardin del bello », air extrait de Don Carlo
Puccini Manon Lescaut, Intermezzo
Cilea « Ecco, respiro appena... Io son l’umile ancella », air extrait d’Adriana Lecouvreur
Verdi La Forza del destino, ouverture
« O don fatale, o don crudel », air extrait de Don Carlo
Federico Chueca El Bateo, prélude
Grieg « T’estimo » (arrangement Langley)
Stanislao Gastaldon « Musica proibita » (arrangement Chichon)
Von Suppè Leitche Kavallerie, ouverture
Rosenta Mato / Castelao «Lela»
Carlos Gardel « El dia que me quieras »
Geronimo Giménez « La boda de Luis Alonso », Intermezzo
Pablo Sarozabal « No puede ser ! », La Tabernera del puerto
La mezzo soprano reprendra ensuite son rôle de Dalila dans l'opéra de Saint-Saens à Berlin à partir du 24 novembre.
Reste à venir :
Bad Wörishofen (festival des nations), le 6 octobre
Ludwigshafen, le 8 octobre
Bratislava le 12 octobre
Paris TCE, le 14 octobre
Retour à Paris, donc, après sa brillante Eboli dans le Don Carlos "5 étoiles" d'il y a deux ans à Paris Bastille...
Le programme est le suivant :
Verdi Luisa Miller, ouverture
« Nel giardin del bello », air extrait de Don Carlo
Puccini Manon Lescaut, Intermezzo
Cilea « Ecco, respiro appena... Io son l’umile ancella », air extrait d’Adriana Lecouvreur
Verdi La Forza del destino, ouverture
« O don fatale, o don crudel », air extrait de Don Carlo
Federico Chueca El Bateo, prélude
Grieg « T’estimo » (arrangement Langley)
Stanislao Gastaldon « Musica proibita » (arrangement Chichon)
Von Suppè Leitche Kavallerie, ouverture
Rosenta Mato / Castelao «Lela»
Carlos Gardel « El dia que me quieras »
Geronimo Giménez « La boda de Luis Alonso », Intermezzo
Pablo Sarozabal « No puede ser ! », La Tabernera del puerto
La mezzo soprano reprendra ensuite son rôle de Dalila dans l'opéra de Saint-Saens à Berlin à partir du 24 novembre.
Lui : Que sous mes pieds se déchire la terre ! que sur mon front éclate le tonnerre, je t'aime, Élisabeth ! Le monde est oublié !
Elle : Eh bien ! donc, frappez votre père ! venez, de son meurtre souillé, traîner à l'autel votre mère
Mon blog :
https://passionoperaheleneadam.blogspot.fr
Elle : Eh bien ! donc, frappez votre père ! venez, de son meurtre souillé, traîner à l'autel votre mère
Mon blog :
https://passionoperaheleneadam.blogspot.fr
Re: Elīna Garanča
Ich liebe dich? Quelle idée de le chanter en espagnol! Carreras l'a régulièrement chanté depuis son concert de la résurrection (d'ailleurs souvent en catalan) mais il est Espagnol.
Re: Elīna Garanča
Après le deuxièle air d'Eboli, toute la deuxième partie est chantée en espagnol. Y mettre de l'allemand aurait fait désordre. Ce qu'on peut se demander, c'est pourquoi il y a Grieg et Von Suppé parmi tous ces compositeurs ibériques...
Le sommeil de la raison engendre des monstres (Goya)
Re: Elīna Garanča
Dans un entretien pour le Berlin Morgenpost publié le 20 novembre, Elīna Garanča annonce une Amneris à Paris pour 2021 et ses débuts dans Wagner avec Kundry à Vienne aussi pour 2021.
Pour ma part j'attends avec patience de voir sa Dalila samedi prochain à Berlin.
Pour ma part j'attends avec patience de voir sa Dalila samedi prochain à Berlin.