Mais non tu fais ton boulot, tu roules pour ton écurie en dénigrant les rivaux. Cela ne surprendra personne, tu es coutumier du fait.Franz Muzzano a écrit : ↑15 mars 2018, 13:59Le problème avec Jaroussky, pour moi, n'est pas vocal, ni même scénique. La voix et le chant sont beaux, il passe sans aucun souci la fosse, et possède même un jeu théâtral assez juste. Mais si j'ai un reproche à lui faire, il se porte sur le fait que si je ne connais pas le texte, je ne sais jamais s'il est amoureux, en colère, gai, triste, jaloux, surpris, calculateur, vivant, mort, malade, guéri...Bref, ce qui me gêne est cette façon de tout chanter avec les mêmes accents, la même couleur. Je vais faire hurler pas mal de monde, mais sur ce plan-là (et seulement sur ce plan-là), il me fait penser à Florez...Polyeucte a écrit : ↑15 mars 2018, 13:41
Déjà, Jaroussky. Franchement, j'ai de plus en plus de mal. Le musicien est là, mais que de préciosité, de manque d'engagement (ou alors quand il s'engage, je trouve ça assez peu beau...). J'aurais préféré une mezzo comme lors de la création de la production, la voix aurait été plus éclatante et sonore (ou un autre contre-ténor plus grave et explosif!).
Moi je trouve Jaroussky limité sur le plan théâtral. Mais comme il est grand et longiligne et qu'il a de l'énergie (quel fracas quand il tape du pied !), ça passe pour beaucoup de gens. Mais sa caractérisation est toujours sommaire et superficielle
oui, c'est très technique et rarement investi.
C'est l"idole des mammies
il a gagné en projection je trouve et le timbre ne s'altère guère