Excuse-moi, je n'ai pas compris la subtilité de ta question, cher Richie ?...richie3774 a écrit :René Jacobs a-t-il enfin accouché depuis mardi soir?
Brockes-Passion de Telemann (R. Jacobs) - 03/2005
- richie3774
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Il faisait pénitence pour la Semaine sainte, peut-être ?richie3774 a écrit :Non seulement il prend du bide, mais il garde la même taille de chemise, ce qui devient franchement peu élégant. Mardi à Bruxelles on avait l'impression que c'était son ventre qui marchait devant lui.bajazet a écrit :C'est parce qu'il a pris du bide ?
René, si tu nous lis. CHANGE DE CHEMISE!
- richie3774
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Je voulais dire "change de taille", "renouvelle ta garde-robe", je ne voulais certainement pas insinuer qu'il ne se changeait pas.bajazet a écrit :Il faisait pénitence pour la Semaine sainte, peut-être ?richie3774 a écrit :Non seulement il prend du bide, mais il garde la même taille de chemise, ce qui devient franchement peu élégant. Mardi à Bruxelles on avait l'impression que c'était son ventre qui marchait devant lui.bajazet a écrit :C'est parce qu'il a pris du bide ?
René, si tu nous lis. CHANGE DE CHEMISE!
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Tu veux dire que tu as sombré dans les bras de Morphée avant la fin?Barberine a écrit :C'est exact, c'était magnifique avec une telle distribution, et j'ai eu la chance de pouvoir suivre le texte, je buvais les paroles. Malheureusement, je n'ai pas pu en profiter jusqu'au bout, ce qui est exceptionnel pour moi.
Pour revenir à des choses plus prosaïques que la taille des chemises de René, c'était splendide ! Surtout la deuxième partie (hé oui Barberine !)
Le choeur homogène, précis, émouvant.
Kobie plus sexy que jamais et très en voix avec des aigus pianissimi à se pâmer (d'ailleurs je me suis pâmé !)!
Henschel un peu dépassé dans les graves mais très expressif
Dasch moins atroce que dans le Comtesse sur cette même scène, voire même carrément remarquable dans les largos !
Chappuis un peu nasale mais avec une diction irréprochable
Et Piau sublime du début à la fin ! Et quelle belle robe ! je veux la même pour mon prochain récital !
jacobs très inspiré, contrasté, avec des couleurs sombres et terrifiantes dans le 'es ist Vollbracht'
les musiciens formidables, surtout les bois !!
Le choeur homogène, précis, émouvant.
Kobie plus sexy que jamais et très en voix avec des aigus pianissimi à se pâmer (d'ailleurs je me suis pâmé !)!
Henschel un peu dépassé dans les graves mais très expressif
Dasch moins atroce que dans le Comtesse sur cette même scène, voire même carrément remarquable dans les largos !
Chappuis un peu nasale mais avec une diction irréprochable
Et Piau sublime du début à la fin ! Et quelle belle robe ! je veux la même pour mon prochain récital !
jacobs très inspiré, contrasté, avec des couleurs sombres et terrifiantes dans le 'es ist Vollbracht'
les musiciens formidables, surtout les bois !!
J'ai eu la chance de l'entendre mardi soir au Palais des Beaux Arts de Bruxelles, dans la magnifique salle Henry Le Boeuf qui est certainement mille fois mieux pour cet type deprogramme que le plus somptueux des théâtres du monde.
Mais cette acoustique parfaite n'en est pas moins impitoyable !
Hors jeu et carton rouge pour Dietrisch Henschel, dont je suis plutôt amateur d'habitude : le nez dans la partition, la voix au vestiaire, et l'émotion au garage ... rien n'y était, rien ne s'en dégageait ...
J'ai regretté certaines approximations des ensembles, au niveau de l'orchestre qui manquait parfois d'ensemble.
J'ai assisté, effondré, à une course poursuite entre Kobie, René et son orchestre : on ne sait plus qui courait après qui mais personne n'était ensemble, c'était vraiment terrible pendant 2 minutes ("on n'avait pas dit rendez-vous au point d'orgue ?")
La deuxième partie était beaucoup plus captivante, avec plus d'unité que dans la première.
Mais je ne peux finir sans parler de Sandrine Piau.
Eblouissante, bouleversante, avec un engagement total et une sensibilité et une musicalité magnifiques !
Pour cela, ce concert rejoint le très beau et émouvant récital Haendel qu'elle avait donné avec les Talens Lyriques au TCE le 19/11 (et ui je me souviens encore de la date !)
J'en ai encore des émotions au coeur ...
Mais cette acoustique parfaite n'en est pas moins impitoyable !
Hors jeu et carton rouge pour Dietrisch Henschel, dont je suis plutôt amateur d'habitude : le nez dans la partition, la voix au vestiaire, et l'émotion au garage ... rien n'y était, rien ne s'en dégageait ...
J'ai regretté certaines approximations des ensembles, au niveau de l'orchestre qui manquait parfois d'ensemble.
J'ai assisté, effondré, à une course poursuite entre Kobie, René et son orchestre : on ne sait plus qui courait après qui mais personne n'était ensemble, c'était vraiment terrible pendant 2 minutes ("on n'avait pas dit rendez-vous au point d'orgue ?")
La deuxième partie était beaucoup plus captivante, avec plus d'unité que dans la première.
Mais je ne peux finir sans parler de Sandrine Piau.
Eblouissante, bouleversante, avec un engagement total et une sensibilité et une musicalité magnifiques !
Pour cela, ce concert rejoint le très beau et émouvant récital Haendel qu'elle avait donné avec les Talens Lyriques au TCE le 19/11 (et ui je me souviens encore de la date !)
J'en ai encore des émotions au coeur ...
- anne75
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[quote="vigie"]
Mais je ne peux finir sans parler de Sandrine Piau.
Eblouissante, bouleversante, avec un engagement total et une sensibilité et une musicalité magnifiques !
quote]
J'ai assisté à ce magnifique concert, ou j'avais l'impression que tout le public était en totale harmonie et communion avec l'oeuvre et les musiciens exceptionnels.
Par contre je reste très réservée sur S. PIAU (à part sa belle robe). Elle n'était pas vocalement à la hauteur de ses collègues. Je ne lui trouvé pas plus de voix que dans la GD Gérolstein !
Mais je ne peux finir sans parler de Sandrine Piau.
Eblouissante, bouleversante, avec un engagement total et une sensibilité et une musicalité magnifiques !
quote]
J'ai assisté à ce magnifique concert, ou j'avais l'impression que tout le public était en totale harmonie et communion avec l'oeuvre et les musiciens exceptionnels.
Par contre je reste très réservée sur S. PIAU (à part sa belle robe). Elle n'était pas vocalement à la hauteur de ses collègues. Je ne lui trouvé pas plus de voix que dans la GD Gérolstein !