Quiz Opéras de Verdi que choisir ?
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Quiz Opéras de Verdi que choisir ?
Allez! Dans la série nostalgie, je vous demande si vous le souhaitez de m'indiquer quels sont vos trois operas de Verdi préférés. Biensur pour les besoins du sondage, il vous faudra ne voter que pour un, néanmoins dans vos commentaires n'hésitez pas à nous dire nos trois préférés et pourquoi.
Pour moi le choix est cruel :
1) Rigoletto : Le sujet tout d'abord, Verdi y déverse toute sa peine de père, lui qui a perdu ses trois enfants. Il fait d'un personnage lait et difforme un héros. Ce personnage qui dans la vie publique est un monstre dont la seule fonction est d'amuser le Duc de Mantolva,qui à l'origine devait être François 1er. Cette idée fut abandonée, censure oblige, appuyé par les reactions hostiles de Victor Hugo, qui ne voulait pas que son drame historique "Le roi s'amuse" ne soit assimilé à un opera de Verdi. Un différent opposant déja les deux hommes depuis Ernani. Rigoletto est le difforme bouffon en public, méchant avec sa langue affutée "comme un poignard", comme il le dit lui même, en comparant sa langue à la lame de Sparafucile, "pari siamo, io la lingua...", en privé ce même Rigoletto est un père pétrie d'amour pour sa fille. Au final Rigoletto sera perdu par cette malediction, Freud aurait pu dire que c'est Rigoletto lui même qui se serait précipité dans cette malediction qu'il redoutait, cette angoisse le poussant inconsciamment à se perdre. Moi je retiens un homme qui n'a eu d'autres choix, dans un époque où l'on rejettait, handicapés et difformes, que d'user de son humour et donc de son intelligence pour amuser un Prince dédaigneux dont le seul plaisir est de se jouer des autres, " des femmes et des courtisans".
Sinon l'opera lui même, un bref prélude qui laisse présager de la malediction, trois airs pour ténor magnifiques. Cet opera bouscule les conventions encore trés impreignées du Bel canto, musicalement le bel canto est encore présent, mais pour une fois le ténor n'y tient pas le rôle d'un jeune héros, mais plutôt d'un personnage, qui n'inspire pas forcément la sympathie et déja un rôle de baryton à la couleur vocale assez différente. Les choeurs plus présents que jamais, délicieusement présents, un jolie rôle pour soprano coloratur (je pense, je ne suis pas sur c'est à définir), une vrai action, un drame, une musique superbe bref j'adore. Juan Pons, Nucci, Capuccili sont autant d'excellents Rigoletto.
Mon deuxième opera est DON CARLOS version originale, pour les raisons que j'ai déja expliqué. Une variante dans la musicalité, Verdi a cherché à innover, en arrière fond l'engagement politique de Verdi, à travers le sort des Flamands. C'est bien évidemment,l'Italie occupée qui est évoquée, un Roi dont on représente à la fois la fonction politique et l'être humain dont on détaille l'âme et son grand amour pour sa femme,sa détresse de se voir vieillir et son conflit avec son fils. Sans pression des préssion que subit le monarque, poussé par le Clergé à pratiquer une répression sanglante, sur les ennemis de la foi catholique. Un Infant amoureux , insolent, passioné, vivant une grand amitié, Cet opera réuni les notions d'amitié, d'amour, de passion, de vieillesse, de religion et de politique, dans une alchimie parfaite, noué dans une intrigue que je trouve passionante. Jose Van Dam (dans la version originale), Raimondi et Chiaurov (dans la version italienne) sont autant de Phillipe que j'apprecie et Domingo et Alagna pour le rôle titre. Je cite aussi Werret, Zajic, dans leur rôles....
Enfin là c'est cruel je choisi Traviata, car je suis obligé de choisir, mais je pourrais citer La forza, Nabucco, Attila, Otello....... A vous de me dire .
Dans le sondage j'en ai peut-être oublié.
Pour moi le choix est cruel :
1) Rigoletto : Le sujet tout d'abord, Verdi y déverse toute sa peine de père, lui qui a perdu ses trois enfants. Il fait d'un personnage lait et difforme un héros. Ce personnage qui dans la vie publique est un monstre dont la seule fonction est d'amuser le Duc de Mantolva,qui à l'origine devait être François 1er. Cette idée fut abandonée, censure oblige, appuyé par les reactions hostiles de Victor Hugo, qui ne voulait pas que son drame historique "Le roi s'amuse" ne soit assimilé à un opera de Verdi. Un différent opposant déja les deux hommes depuis Ernani. Rigoletto est le difforme bouffon en public, méchant avec sa langue affutée "comme un poignard", comme il le dit lui même, en comparant sa langue à la lame de Sparafucile, "pari siamo, io la lingua...", en privé ce même Rigoletto est un père pétrie d'amour pour sa fille. Au final Rigoletto sera perdu par cette malediction, Freud aurait pu dire que c'est Rigoletto lui même qui se serait précipité dans cette malediction qu'il redoutait, cette angoisse le poussant inconsciamment à se perdre. Moi je retiens un homme qui n'a eu d'autres choix, dans un époque où l'on rejettait, handicapés et difformes, que d'user de son humour et donc de son intelligence pour amuser un Prince dédaigneux dont le seul plaisir est de se jouer des autres, " des femmes et des courtisans".
Sinon l'opera lui même, un bref prélude qui laisse présager de la malediction, trois airs pour ténor magnifiques. Cet opera bouscule les conventions encore trés impreignées du Bel canto, musicalement le bel canto est encore présent, mais pour une fois le ténor n'y tient pas le rôle d'un jeune héros, mais plutôt d'un personnage, qui n'inspire pas forcément la sympathie et déja un rôle de baryton à la couleur vocale assez différente. Les choeurs plus présents que jamais, délicieusement présents, un jolie rôle pour soprano coloratur (je pense, je ne suis pas sur c'est à définir), une vrai action, un drame, une musique superbe bref j'adore. Juan Pons, Nucci, Capuccili sont autant d'excellents Rigoletto.
Mon deuxième opera est DON CARLOS version originale, pour les raisons que j'ai déja expliqué. Une variante dans la musicalité, Verdi a cherché à innover, en arrière fond l'engagement politique de Verdi, à travers le sort des Flamands. C'est bien évidemment,l'Italie occupée qui est évoquée, un Roi dont on représente à la fois la fonction politique et l'être humain dont on détaille l'âme et son grand amour pour sa femme,sa détresse de se voir vieillir et son conflit avec son fils. Sans pression des préssion que subit le monarque, poussé par le Clergé à pratiquer une répression sanglante, sur les ennemis de la foi catholique. Un Infant amoureux , insolent, passioné, vivant une grand amitié, Cet opera réuni les notions d'amitié, d'amour, de passion, de vieillesse, de religion et de politique, dans une alchimie parfaite, noué dans une intrigue que je trouve passionante. Jose Van Dam (dans la version originale), Raimondi et Chiaurov (dans la version italienne) sont autant de Phillipe que j'apprecie et Domingo et Alagna pour le rôle titre. Je cite aussi Werret, Zajic, dans leur rôles....
Enfin là c'est cruel je choisi Traviata, car je suis obligé de choisir, mais je pourrais citer La forza, Nabucco, Attila, Otello....... A vous de me dire .
Dans le sondage j'en ai peut-être oublié.
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C'est très dur de faire un choix. J'aime bcp La Traviata, Aida et Don Carlo. Voici mes trois choix mais j'aime bcp par ailleurs Il Trovatore et Otello. Ce sont les 5 opéras de Verdi que je connais le mieux (en entier) avec Rigoletto que j'aime moins. J'aime bien aussi Macbeth que je connais pas dans son intégralité mais presque. Tu as oublié notamment Un Ballo in maschera que j'aime bcp aussi.
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Mauvais Quizz... Vous avez oublié "Le retour d'Ulysse" !! Ah bon, c'est de MONTEvedi ?
Au fait, l quitte à ouvrir des fils en pagaille, es titres, c'est en minuscules qu'on les écrits....! Merci de respecter la typo usuelle du site....
E.
Au fait, l quitte à ouvrir des fils en pagaille, es titres, c'est en minuscules qu'on les écrits....! Merci de respecter la typo usuelle du site....
E.
Une monstrueuse aberration fait croire aux hommes que le langage est né pour faciliter leurs relations mutuelles. - M. Leiris
Mon blog, CMSDT-Spectacles Ch'io mi scordi di te : http://cmsdt-spectacles.blogspot.fr/
Mon blog consacré à Nancy Storace : http://annselinanancystorace.blogspot.fr/
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PS : "dans la série nostalgie..." Verdi, c'est réservé au plus de 70 ans ?!??
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J'ai voté pour Aida.aurele a écrit :C'est très dur de faire un choix. J'aime bcp La Traviata, Aida et Don Carlo. Voici mes trois choix mais j'aime bcp par ailleurs Il Trovatore et Otello. Ce sont les 5 opéras de Verdi que je connais le mieux (en entier) avec Rigoletto que j'aime moins. J'aime bien aussi Macbeth que je connais pas dans son intégralité mais presque. Tu as oublié notamment Un Ballo in maschera que j'aime bcp aussi.
Je confirme le choix est cornélien ....Disons que l'humeur du moment m'a fait choisir en premier Aida mais Rigoletto , Traviata sont juste derrière ....Ernani et Attila me sont chers puisqu'ils sont les premiers opéras verdiens que j'ai pu voir et entendre (l' Ernani de Schippers étant ma première intégrale ).
-/Aida
Aida est l'opéra de Verdi , mondialement le plus connu et le plus fédérateur , susceptible encore de remplir les théâtres ,les stades ..Alors bien sûr , la fameuse marche triomphale ou l'air des trompettes ,a contribué à cet engouement tout comme l'imagerie égyptienne qui en a découlé mais Aida demeure une oeuvre , d'une grande richesse musicale (l'intime cotoie le grandiose ) et dramatiquement intense (lutte de pouvoir et passion amoureuse sous l'Egypte ancienne ) impliquant une distribution vocale de premier ordre , des choeurs et une direction équilibrée ;
Au disque , mon Aida préférée est celle de Leontyne Price ...sa voix est oppulente , l interprétation ,est d'une grande justesse dramatique ; en effet , elle s"y révèle altière et féline , traits me semblant correspondre à cette esclave etiopienne , fille d'un roi , partagée entre le devoir et cet amour impossible );en second choix , je citerai la Callas .
Pour Radamès , je trouve que Domingo est l'interprète le plus crédible même si sur le plan strictement vocal , je préfère Bergonzi ou Pavarotti ,plus à l'aise dans l'acte du Nil ) . Bumbry , dans une moindre mesure Cossotto , confèrent du relief à Amneris , évitant d'en faire une simple princesse vengeresse .
A ce jour , je n'ai pas vraiment assisté à des productions marquantes d'Aida , faute de chanteurs vraiment rompus à ce répertoire ...à l'exception de Zajick à Orange en 2001 .
-/Rigoletto
Un opéra d'une rare concision , facile d'écoute ,marquant une certaine évolution dans l'écriture verdienne .....Par la forme , l'opéra demeure belcantiste mais la psychologie des personnages est davantage travaillée (relation père-fille )....Rigoletto est le personnage principal , qui constitue le rôle caractéristique du baryton-verdien , appelant un chant nuancé et stylé .A la scène et au disque Merill , Bastianini ou Fischer-Dieskau ont marqué le rôle . Callas , Sutherland et Scotto ont su conférer au-delà de la technicité du rôle une âme à Gilda tout comme Gruberova . Le Duc de Mantoue est un rôle assez ingrat dans l'absolu mais permet au ténor de "briller" tout au moins à ceux qui en ont les moyens ....les noms de Kraus, Bergonzi , Pavarotti viennent alors spontanément....
C'est un opéra que j'ai découvert d'abord scéniquement avec une distribution qui à l'époque 93-94 ne me disait rien mais a priori séduisante (Alagna, Casselo , Fondary à Nice)....en 97, découverte de Marcelo Alvarez en Duc à Toulouse (un de ses meilleurs emplois ).Puis véritable coup de foudre pour le bouffon de Nucci , bien meilleur à la scène qu'au disque .Carlos Almaguer ,entendu l'hiver dernier m' a fait une belle impression .
-/Traviata
Avec cet opéra , Verdi a rompu avec avec la tradition consistant à mettre en musique des livrets à connotation historique et politique . En évoquant la grandeur et la décadence d'une courtisane française ,d'après la pièce de A.Dumas fils , Verdi et son librettiste Piave , ont bousculé les conventions en se basant sur des faits sociaux qui leur sont contemporains ,et moralement réprouvés . Sur le plan musical , le personnage principal , Violetta gagne en épaisseur .
Au disque, ce sont surtout les interprétations de Maria Callas et Ileana Cotrubas qui m'ont fait apprécier cet ouvrage ; pour Alfedo , Kraus et Bergonzi sont les mieux chantant . Sereni, Bastianini et Zancanaro ont chacun à leur époque été de grands Germont .
Scéniquement , un grand souvenir il y a quelques années à Nice : Mula, Nucci et M;Alvarez réunis pour une Traviata que je ne suis pas prêt d'oublier .
-/Aida
Aida est l'opéra de Verdi , mondialement le plus connu et le plus fédérateur , susceptible encore de remplir les théâtres ,les stades ..Alors bien sûr , la fameuse marche triomphale ou l'air des trompettes ,a contribué à cet engouement tout comme l'imagerie égyptienne qui en a découlé mais Aida demeure une oeuvre , d'une grande richesse musicale (l'intime cotoie le grandiose ) et dramatiquement intense (lutte de pouvoir et passion amoureuse sous l'Egypte ancienne ) impliquant une distribution vocale de premier ordre , des choeurs et une direction équilibrée ;
Au disque , mon Aida préférée est celle de Leontyne Price ...sa voix est oppulente , l interprétation ,est d'une grande justesse dramatique ; en effet , elle s"y révèle altière et féline , traits me semblant correspondre à cette esclave etiopienne , fille d'un roi , partagée entre le devoir et cet amour impossible );en second choix , je citerai la Callas .
Pour Radamès , je trouve que Domingo est l'interprète le plus crédible même si sur le plan strictement vocal , je préfère Bergonzi ou Pavarotti ,plus à l'aise dans l'acte du Nil ) . Bumbry , dans une moindre mesure Cossotto , confèrent du relief à Amneris , évitant d'en faire une simple princesse vengeresse .
A ce jour , je n'ai pas vraiment assisté à des productions marquantes d'Aida , faute de chanteurs vraiment rompus à ce répertoire ...à l'exception de Zajick à Orange en 2001 .
-/Rigoletto
Un opéra d'une rare concision , facile d'écoute ,marquant une certaine évolution dans l'écriture verdienne .....Par la forme , l'opéra demeure belcantiste mais la psychologie des personnages est davantage travaillée (relation père-fille )....Rigoletto est le personnage principal , qui constitue le rôle caractéristique du baryton-verdien , appelant un chant nuancé et stylé .A la scène et au disque Merill , Bastianini ou Fischer-Dieskau ont marqué le rôle . Callas , Sutherland et Scotto ont su conférer au-delà de la technicité du rôle une âme à Gilda tout comme Gruberova . Le Duc de Mantoue est un rôle assez ingrat dans l'absolu mais permet au ténor de "briller" tout au moins à ceux qui en ont les moyens ....les noms de Kraus, Bergonzi , Pavarotti viennent alors spontanément....
C'est un opéra que j'ai découvert d'abord scéniquement avec une distribution qui à l'époque 93-94 ne me disait rien mais a priori séduisante (Alagna, Casselo , Fondary à Nice)....en 97, découverte de Marcelo Alvarez en Duc à Toulouse (un de ses meilleurs emplois ).Puis véritable coup de foudre pour le bouffon de Nucci , bien meilleur à la scène qu'au disque .Carlos Almaguer ,entendu l'hiver dernier m' a fait une belle impression .
-/Traviata
Avec cet opéra , Verdi a rompu avec avec la tradition consistant à mettre en musique des livrets à connotation historique et politique . En évoquant la grandeur et la décadence d'une courtisane française ,d'après la pièce de A.Dumas fils , Verdi et son librettiste Piave , ont bousculé les conventions en se basant sur des faits sociaux qui leur sont contemporains ,et moralement réprouvés . Sur le plan musical , le personnage principal , Violetta gagne en épaisseur .
Au disque, ce sont surtout les interprétations de Maria Callas et Ileana Cotrubas qui m'ont fait apprécier cet ouvrage ; pour Alfedo , Kraus et Bergonzi sont les mieux chantant . Sereni, Bastianini et Zancanaro ont chacun à leur époque été de grands Germont .
Scéniquement , un grand souvenir il y a quelques années à Nice : Mula, Nucci et M;Alvarez réunis pour une Traviata que je ne suis pas prêt d'oublier .
Le choix est effectivement difficile, mais comme ils n'y sont pas tous, cela simplifie un peu; je ne vote que pour deux, Otello et Forza: musicalement et dramatiquement (quelque version qu'on choisisse pour Forza ), ce sont des sommets pour moi inégalés... Si le choix avait été libre, j'aurais bien mis aussi Masnadieri et Luisa Miller, moins dramatiquement bien construits (quoique Luisa ne soit quand même pas mal) mais vocalement vachement bien foutus: ils sont évidemment plus belcantistes et sont bien équilibrés entre les différents protagonistes avec pour chacun des airs assez sublimes, et puis le quatuor a cappella de Luisa et l'ouverture de Masnadieri sont quand même des moments de pur bonheur!
P.S. Quelqu'un se souvient-il de la distribution de Masnadieri donné au Chatelet dans les années 80 (début ou fin 70... ma mémoire flanche)?
P.S. Quelqu'un se souvient-il de la distribution de Masnadieri donné au Chatelet dans les années 80 (début ou fin 70... ma mémoire flanche)?
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Vous avez tout à fait raison pour les majuscules, en revanche il s'agit plutôt d'un sondage, que d'un quizz, en gros dans cette affaire, je cherche à définir quels sont les opéras de Verdi, qui ont la préférence des membres d'ODB, pour ceux qui aiment Verdi. On appèle cela un sondage, tout le monde à la bonne réponse, et le premier qui répond ne gagne pas d'ours en peluche.EdeB a écrit :Mauvais Quizz... Vous avez oublié "Le retour d'Ulysse" !! Ah bon, c'est de MONTEvedi ?
Au fait, l quitte à ouvrir des fils en pagaille, es titres, c'est en minuscules qu'on les écrits....! Merci de respecter la typo usuelle du site....
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