+1enrico75 a écrit : ↑16 janv. 2020, 23:43Direction précise et appliquée de T.Sokhiev mais sans âme ni passion comme un beau poème symphonique avec voix.
Orchestre somptueux et virtuose,mais d'une sonorité globale neutre sans les" excés "indispensables dans Berlioz (Cf. Markevitch,Davis,Gardiner,Roth..)
oui, c'est exactement ce que j'ai ressenti au dernier festival Berlioz où il dirigeait cet ouvrage et je déteste cette approche si lisse et hors sujet.
Et comme j'ai déjà entendu Groves dans ce rôle à Bastille et à Liège (et qu'il est sur le déclin), idem pour d'Arcangelo (qui chantait avec lui à Liège) , je me suis fait rembourser
j'ai donc eu le bonheur d'applaudir, en salle, La Damnation avec une quinzaine de distributions différentes, dirigée par Ozawa, Nelson, Gardiner et Roth et de voir les superbes productions de Py et de Lepage