et qui démontre que les opéras de province ont parfois des choix plus judicieux que nos mastodontes parisiens.Snobinart a écrit :On va par relancer le débat sur cette production qui aurait du faire des tournées partout où c'était possible !MariaStuarda a écrit :Ah c'est parfois un tantinet chargé en effet.
Mais je lui pardonne beaucoup de choses depuis cette Walkyrie fabuleuse de Strasbourg (qui aurait bien du être reprise ... notamment à Paris)
Donizetti - Roberto Devereux - Benini/McVicar - Met - 03-04/2016
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Re: Donizetti - Roberto Devereux - Benini/McVicar - Met - 03-04/2016
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Re: Donizetti - Roberto Devereux - Benini/McVicar - Met - 03-04/2016
Son Andrea Chenier à Londres avait aussi le souci du détail notamment dans la confection des costumes (sous-vêtements et bottines comprises) mais justement j'avais trouvé la "Révolution" bien trop proprette pour une... Révolution ! La mise en scène était du coup un tantinet statique... mais esthétiquement superbe, comme un tableau de David.MariaStuarda a écrit :Ah c'est parfois un tantinet chargé en effet.
Mais je lui pardonne beaucoup de choses depuis cette Walkyrie fabuleuse de Strasbourg (qui aurait bien du être reprise ... notamment à Paris)
Lui : Que sous mes pieds se déchire la terre ! que sur mon front éclate le tonnerre, je t'aime, Élisabeth ! Le monde est oublié !
Elle : Eh bien ! donc, frappez votre père ! venez, de son meurtre souillé, traîner à l'autel votre mère
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Re: Donizetti - Roberto Devereux - Benini/McVicar - Met - 03-04/2016
Son Adrienne Lecouvreur était superbe également.HELENE ADAM a écrit :Son Andrea Chenier à Londres avait aussi le souci du détail notamment dans la confection des costumes (sous-vêtements et bottines comprises) mais justement j'avais trouvé la "Révolution" bien trop proprette pour une... Révolution ! La mise en scène était du coup un tantinet statique... mais esthétiquement superbe, comme un tableau de David.MariaStuarda a écrit :Ah c'est parfois un tantinet chargé en effet.
Mais je lui pardonne beaucoup de choses depuis cette Walkyrie fabuleuse de Strasbourg (qui aurait bien du être reprise ... notamment à Paris)
Mc Vicar n'est parfois pas si sage. ça n'était pas lui ce Rigoletto très dénudé à Londres ?
Re: Donizetti - Roberto Devereux - Benini/McVicar - Met - 03-04/2016
c était surtout la mise en scène a londres de salomé, avec l'apparition du bourreau nu couvert des sang tenant la tête de jonathan!
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Re: Donizetti - Roberto Devereux - Benini/McVicar - Met - 03-04/2016
Oui c'était aussi effectivement une belle imageenrico75 a écrit :c était surtout la mise en scène a londres de salomé, avec l'apparition du bourreau nu couvert des sang tenant la tête de jonathan!
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Re: Donizetti - Roberto Devereux - Benini/McVicar - Met - 03-04/2016
Premières (belles) critiques
http://www.vulture.com/2016/03/opera-re ... ereux.html#
http://www.nytimes.com/2016/03/26/arts/ ... m=Facebook
http://www.huffingtonpost.com/wilborn-h ... 47372.html
http://www.vulture.com/2016/03/opera-re ... ereux.html#
http://www.nytimes.com/2016/03/26/arts/ ... m=Facebook
http://www.huffingtonpost.com/wilborn-h ... 47372.html
Lui : Que sous mes pieds se déchire la terre ! que sur mon front éclate le tonnerre, je t'aime, Élisabeth ! Le monde est oublié !
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Re: Donizetti - Roberto Devereux - Benini/McVicar - Met - 03-04/2016
A noter : live au cinéma le 16 avril, on pourra écouter aussi l'opéra par ce lien
http://www1.wdr.de/radio/wdr3/programm/ ... x-100.html
Saluts lors de la Première au MET et aperçu du très beau décor
http://www1.wdr.de/radio/wdr3/programm/ ... x-100.html
Saluts lors de la Première au MET et aperçu du très beau décor
Lui : Que sous mes pieds se déchire la terre ! que sur mon front éclate le tonnerre, je t'aime, Élisabeth ! Le monde est oublié !
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Re: Donizetti - Roberto Devereux - Benini/McVicar - Met - 03-04/2016
Il faut signaler aussi les adjectifs qui saluent la prestation de Matthew Polenzani dans le role titre : " sublime" , " excellent" , "chant extatique" ....
Un cast dans son entier au top manifestement.
Bernard
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Sunt lacrymae rerum et mentem mortalia tangunt Énéide I v
Re: Donizetti - Roberto Devereux - Benini/McVicar - Met - 03-04/2016
Il est très bon, ce Justin Davidson, sa critique est superbement écrite :
"Elizabeth is a dour monarch, stiff and limping and desolately in love with the doomed Devereux. But Radvanovsky pours all that corseted rage into singing that floats and stings. She achieves with her voice all the wild freedom that her character is denied, and makes something splendid even of her ruthlessness and regret. Her soprano is all velvet and steel, and as she pushes up into the role’s high-altitude acrobatics, she acquires ever more infallible poise. It’s a great moment in opera when she enters encased in a marble-white outfit sculpted by costume designer Moritz Junge, a pair of gauzy butterfly wings framing her auburn curls and chalky face, to deliver her aria of martial love “Ah! ritorna qual ti spero.” Later, when she is shorn of wig, collar, and gown, and reduced to the aspect of a frail old lady, she wields Donizetti’s music like a whip, urging the opera to its electrifying end. Death, be proud."
"Elizabeth is a dour monarch, stiff and limping and desolately in love with the doomed Devereux. But Radvanovsky pours all that corseted rage into singing that floats and stings. She achieves with her voice all the wild freedom that her character is denied, and makes something splendid even of her ruthlessness and regret. Her soprano is all velvet and steel, and as she pushes up into the role’s high-altitude acrobatics, she acquires ever more infallible poise. It’s a great moment in opera when she enters encased in a marble-white outfit sculpted by costume designer Moritz Junge, a pair of gauzy butterfly wings framing her auburn curls and chalky face, to deliver her aria of martial love “Ah! ritorna qual ti spero.” Later, when she is shorn of wig, collar, and gown, and reduced to the aspect of a frail old lady, she wields Donizetti’s music like a whip, urging the opera to its electrifying end. Death, be proud."
Re: Donizetti - Roberto Devereux - Benini/McVicar - Met - 03-04/2016
Tu soulignes avec raison.
J'écrivais pareillement : " chez elle qui possède une voix au scalpel mais pas sans chaleur."
Bernard
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