J'ai aimé:
un peu
L'Italienne à Alger, mise en scène lourdingue d'Andrei Serban
Mathis le peintre un spectacle qu'il faut louer mais rébarbatif
les mamelles de Tiresias juste pour revisiter le dadaïsme
Francesca da Rimini impressionnant sur le moment et il n'en reste rien quelques jours plus tard
Luisa Miller pour le charme romantique et la belle toile si bien peinte qui représente un paysage alpin
l'échelle de soie au Théâtre des Champs Elysées, un Rossini comme il y en a d'autres
Il postino, pas pour la musique
Les brigands, pour les espagnolades et le Comte de Gloria Cassis interprété par Philippe Talbot
beaucoup
Triptyque, une oeuvre rare et luxuriante, surtout pour Soeur Angelica
La fiancée vendue, une oeuvre qui n'est pas dépourvue d'une certain charme et les grosses voitures de années vingt ne manquaient pas d'allure.
My fair lady, la meilleure des comédies musicales, très belle mise en scène de Robert Carsen
Rinaldo à Versailles par le Collegium, groupe tchèque, Mise en scène baroquissime de Louise Moaty
Le barbier de séville au Châtelet, mise en scène amusante d'Emilio Sagi
Le Freischütz dans une version française due à Berlioz, quelle rareté! La scène de la gorge au loup était très réussie.
Idoménée, spectacle idéal s'il n'y avait pas eu cette mise en scène désastreuse!
Ritorno de Ulisse in patria Cité de la Musique La Venexiana, excellente Pénélope de la mezzo russe Oksana Lazarena
Otello, Andrei Serban a revu sa mise en scène, l'a allégée et y a mis tout le temps des nuages en vidéo et il a bien fait
Ali Baba et les quarante voleurs de Cherubini au Théâtre de l'Athénée, une oeuvre méconnue, un opéra pour petits et grands qui mériterait mieux que cette production bouts de ficelles.
Ariane à Naxos une des oeuvres les plus spirituelles et les plus inspirées qui soient, la mise en scène controversée de Pelly/Mélinand se laisse toujours regarder.
Cosi fan tutte scénographie pleine de charme et par moments admirable, qui supporte mal la comparaison avec ce qu'avait fait Chéreau.
passionnément
Eugène Onéguine, pour la prestation de Joseph Kaiser et le charme qui émane de cette production
Orlando, pour la mise en scène imaginative sophistiquée et par moments quasi surréaliste de David Mc Vicar
L'amour des Trois Oranges Massy pour la mise en scène exceptionnelle de Dmitri Bertman, le metteur russe surdoué, toujours exilé en banlieue quand il vient en France.
Cadmus et Hermione quel culot il a fallu à Benjamin Lazar de le faire comme il l'a fait et quel spectacle magique!
Giulio Cesare, mise en scène hautement fantaisiste de Pelly/Melinand dont je retiendrai surtout les statues qui chantent.
Les fiançailles au couvent, oeuvre étonnante dans une mise en scène qui est forte quand elle évoque l'époque post-révolutionnaire constructiviste et j'ai adoré la danse du poisson.
Le vaisseau fantôme pour retrouver cette oeuvre dans la mise en scène de Willy Decker qui a beaucoup de style.
Madame Butterfly pour retrouver cette oeuvre dans la mise en scène de Robert Wilson qui résiste bien à l'épreuve du temps
Siegfried spectacle finalement très riche et qui n'est pas sans beauté
Crépuscule des Dieux pour le traitement par l'absurde de la scène finale.
à la folie:
Cendrillon, nouvelle grande réussite de Bernard Lazar qui a su faire donner dans la féérie en évitant les mièvreries hollywoodiennes.
Les Noces de Figaro, le spectacle tant attendu par ceux qui ne l'avaient pas vu ou pas assez vu.
Orlando furioso, prodigieuse découverte de l'oeuvre, distribution fantastique, mise en scène minimaliste et irritante mais qui au troisième exprime l'absurde comme aucune autre mise en scène ne l'a fait.
Atys!!!!!!!!
Pas du tout
Akhmatova exercice de style d'un compositeur prolixe et peu inspiré devenu trop vite Directeur du conservatoire
Passion, affreusement prétentieux et vide
Sweeny Todd très bien fait mais trop gore
Le Roi Arthur à Versailles par le concert spirituel de Niquet, une arnaque de première
Didon et Enée au Théâtre de l'Athénée, pas grand chose
Faustin