Oui bon là j'avoue ne pas très bien comprendre le concept... ? J'apprécie Ettinger, il a un répertoire assez classique (Aida, Tosca, La traviata etc.) et il y est plutôt intéressant (et parfois explosif ) mais dans Aida où je l'ai entendu à Munich il y a deux ans, par exemple, il n'arrivait pas vraiment au niveau de Pappano entendu quelques mois auparavant dans le même opéra.PlacidoCarrerotti a écrit : ↑21 nov. 2017, 15:30Malheureusement, ce n'est pas son répertoire actuel qui fera bander Stéfanou. Si au moins il avait dirigé Ffdgvvfghbjhn de Gbhgnk au Festival de Kklk, dans une relecture de Gégé Zhjfhbjfbhdc...paco a écrit : ↑21 nov. 2017, 15:16Je suis d'accord avec Bernard que Ettinger est irrégulier, capable de l'enthousiasmant comme du banal, mais c'est justement parce qu'il est un véritable artiste, avec ses hauts et ses bas, ses spleens et ses jours "avec", bref c'est ce qui en fait presque un "Grand". Tout comme Snobinart et Placido, comparé à un Jordan, et même à d'autres excellents chefs comme par exemple Luisi, je prends Ettinger sans hésiter !
Vladimir Jurowski, ou n'importe quel Jurowski du reste, est bien davantage lissnero-compatible.
Que faut-il, de ton point de vue, pour être lissnéro-compatible ? Jordan n'avait pas un répertoire tellement plus original, mis à part sans doute Strauss, mais c'est justement ce qu'il dirige le mieux.
Et en quoi les Jurowski (qui m'intéressent davantage qu'Ettinger pour être honnête) seraient-ils davantage lissnéro-compatibles ?
NB : pour mémoire, Ettinger avait déjà dirigé Mozart dans la reprise de (2009? pas sûre) des Noces (mise en scène Strehler, ça je suis sure) à Bastille. Il me semble qu'il était alors l'assistant de Jordan. Non ? Ce n'était pas une très bonne reprise....dans mon souvenir en tous cas.