Art lyrique et homosexualité : un microcosme ?

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Bernard C
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Re: Art lyrique et homosexualité : un microcosme ?

Message par Bernard C » 15 août 2017, 17:00

Loïs a écrit :
15 août 2017, 15:30
romance a écrit :
15 août 2017, 11:06
Loïs a écrit :
15 août 2017, 10:49
romance a écrit :
15 août 2017, 06:19
. infiniment morcelé.
Tu parles de son Mib?
Oui.
Il est où, Paul ?
j'y cause pus depuis ki veut pus mamener à Tokyo
Mais Polo parlait de Kyoto il me semble.. C'est le Grubishinkansen pas le Grubicar qu'il faut prendre dans votre cas :cry: :lol:

Bernard
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Re: Art lyrique et homosexualité : un microcosme ?

Message par JdeB » 15 août 2017, 17:17

Ben nous on préfère le Grubicar, désolé
Parution de ma biographie "Régine Crespin, La vie et le chant d'une femme" ! Extraits sur https://reginecrespinbiographie.blogspot.com/
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Re: Art lyrique et homosexualité : un microcosme ?

Message par Loïs » 15 août 2017, 17:31

romance a écrit :
15 août 2017, 16:16
Dans le plan ou dans l'espace ?
en plan: besoin que de deux dimensions (hauteur des notes en ordonnée et projection dans la salle en abscisse) mais nombreux font ainsi '(regarde le froncement de sourcil et l'omega qui se dessine quand Pavarotti fait un aigu ou le louchement de Baltsa sur ses notes extrêmes; Schwarzkopf arrivait en avance avant les concerts pour savoir sur quel siège projeter ses notes)

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Re: Art lyrique et homosexualité : un microcosme ?

Message par Asvo » 15 août 2017, 17:52

romance a écrit :
15 août 2017, 11:06
Loïs a écrit :
15 août 2017, 10:49
romance a écrit :
15 août 2017, 06:19
. infiniment morcelé.
Tu parles de son Mib?
Oui.
Il est où, Paul ?


---
édité :
Je viens de jeter un coup d'oeil sur le net, histoire de voir s'il pouvait y avoir un rapport entre la musique et les fractales... et j'arrive à ce lien qui, peut-être, peut intéresser les vrais musiciens qui fréquentent ODB.
https://www-fourier.ujf-grenoble.fr/~fa ... plan.xhtml
Pour ceux qui aiment les liens entre maths et musique avec une grande dose de branlette intellectuelle (même si ce sont des gens très bien qui font ça), le séminaire MaMuPhi (Maths-Musique-Philo) à Ulm : http://www.entretemps.asso.fr/maths/
(tu nous feras les comptes rendus Adalbéron ? ;) )



(sinon je débarque, le sujet parle bien de la proportion de Gruberovistes dans les compétitions de BodyBuilding en république Tchèque c'est ça ?)

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Re: Art lyrique et homosexualité : un microcosme ?

Message par JdeB » 15 août 2017, 17:54

oui, tu as tout compris. On attend les stats de nos amis tchèques fédération par fédération avec impatience
Mais on "lissera" comme dans tous les bons instituts de sondage, promis !
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Re: Art lyrique et homosexualité : un microcosme ?

Message par MariaStuarda » 15 août 2017, 18:14

Bon je vous manque ou quoi ?
Sur la dune ou je me prélasse, théoriquement à l'abri de toute interférence 4G, entre Fred Vargas et Philippe Dijan, les dieux de la téléphonie semblent malgré tout cléments.
Si on devait définir la Grubicar, ce serait :
- un véhicule imaginaire et si nécessaire long-courrier, permettant d'emmener ses amis voir la plus foldingue des sopranos,
- Skipy en est le copilote, ce qui n'assure pas une stabilité sans faille au vaisseau
- il est équipé d'un détecteur de non croyants permettant de les renvoyer vers un espace dit "Sutherland"
- y règnent pêle-mêle le second degré (spécialement sollicité pour le mauvais goût de mise), le goût pour les vieilles perruques de reines amovibles et la capacité des occupants à émettre des cris de jouissance, de préférence en agitant toutes sortes d'objets ou de drapeaux.
C'est quand même pas bien compliqué !

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Re: Art lyrique et homosexualité : un microcosme ?

Message par JdeB » 15 août 2017, 18:18

:lol: :lol: :lol:

Si c'est Skipy aux commandes, je ne monte pas !

Vive Polo ! :D
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Re: Art lyrique et homosexualité : un microcosme ?

Message par Bernard C » 15 août 2017, 18:33

JdeB a écrit :
15 août 2017, 17:17
Ben nous on préfère le Grubicar, désolé
Peinturluré Hello Kitty alors pour l'occasion :lol:

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Re: Art lyrique et homosexualité : un microcosme ?

Message par MariaStuarda » 15 août 2017, 18:54

JdeB a écrit :
15 août 2017, 18:18
:lol: :lol: :lol:

Si c'est Skipy aux commandes, je ne monte pas !

Vive Polo ! :D
Que veux tu ? Il ne démord pas (et il est têtu le bougre !) du fait que la vitesse ET l'altitude du vaisseau doivent rigoureusement suivre la ligne mélodique du Coppia Iniqua version Barcelone 2011, mibG* inclus.

Il paraîtrait que c'est pour mettre les passagers futurs spectateurs en condition et éviter tout effet mal de mer pendant la représentation. :cry:

* Le mibG est un mib tout à fait spécial et reconnu comme tel par les meilleurs spécialistes comme Jerôme ...

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Re: Art lyrique et homosexualité : un microcosme ?

Message par romance » 16 août 2017, 10:25

jerome a écrit :
16 août 2017, 09:47
MariaStuarda a écrit :
15 août 2017, 18:54
Le mibG est un mib tout à fait spécial et reconnu comme tel par les meilleurs spécialistes comme Jérôme ...
Ben c'est un mib qui se casse salement la gueule en ut dièze moins quelques comas qui des fois font descendre la note en ut bécarre ce dont la "chanteuse" est tout de même un peu consciente puisque, dans le 1/4 de seconde qui suit, elle essaye tant bien que mal (plutôt mal que bien ...) de remonter en ré bémol et ainsi de suite jusqu'à ce que la note finisse dans une sorte de cri de porte aux gonds mal graissés d'où ce côté assez dégueulasse de sirène d'alarme. Ce qu'on peut dire aussi sur cette note spéciale, c'est que la chanteuse a non seulement fait perdre tout sens commun et critique à ceux qui désormais s'obstinent à aller la voir tel un animal de foire mais elle s'en est aussi esquinté ses propres tympans au point d'en avoir une déviation auditive très Foster-Jenkinsé (car il n'y a pas que le mi bémol qu'elle plante ... le ré naturel a le même sort ...). Voilà ce qu'est vraiment le mibG actuel parce que le mibG d'il y a 15 ans, ça c'était du vrai mib impeccable!
Grubie c'est une mamie qui essaye de gravir l'Everest alors que la modeste Colline de Sion lui est déjà interdite ... :lol:
:lol: :lol: :lol: Extraordinaire... Le Grubicar, ainsi défini par Jérôme reste un Objet Vocal Cosmique qui peut continuer à enchanter ses exaltés.

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