+1 une merveille d'intelligence, de grâce et d'émotion....raph13 a écrit :Je rajoute sans hésiter Rusalka par Carsen, vue hier soir à Bastille, magnifique !
Vos plus belles mises en scène
- HELENE ADAM
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Re: Vos plus belles mises en scène
Lui : Que sous mes pieds se déchire la terre ! que sur mon front éclate le tonnerre, je t'aime, Élisabeth ! Le monde est oublié !
Elle : Eh bien ! donc, frappez votre père ! venez, de son meurtre souillé, traîner à l'autel votre mère
Mon blog :
https://passionoperaheleneadam.blogspot.fr
Elle : Eh bien ! donc, frappez votre père ! venez, de son meurtre souillé, traîner à l'autel votre mère
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Re: Vos plus belles mises en scène
Et aussi Joel à Paris, deux fois, Mireille, par laquelle il a inauguré son mandat, c'était une sorte de dénégation de tout ce que son prédécesseur, Gerard Mortier avait fait avant lui. C'est une mise en scène que je n'ai pas détestée, elle était soignée et en parfait accord avec l'oeuvre ensuite il y a eu Akhmatova, la mise en scène, soignée elle aussi, n'était pas ce qu'il y avait de pire dans ce spectacle, ce qu'il y avait de pire, c'était la partition de Bruno Mantovani, insupportable à mes oreilles, et le livret qui ne grandissait pas la poétesse présentée comme une dissidente mais guère courageuse.JdeB a écrit :oui, c'est très courant cf Joel à Toulouse, Grinda à Monte-Carlo, Médecin, GC Del Monaco puis Fourny à Nice, Karpo à Marseille, Koering puis Scarpitta à Montpellier, etcZemire a écrit :
Je ne sais si c'est l'habitude ailleurs mais à Liège, nous avons eu droit à nombre de mises en scène par les différents directeurs que j'y ai connus (R Rossius, P Demblon, JL Grinda et S Mazzoni) ... ce ne sont pas celles qui m'ont laissé les meilleurs souvenirs, que du contraire pour certaines !
Faustin
Re: Vos plus belles mises en scène
J'ai retrouvé mon programme du TCE :c'était les 6, 7, 8, et 9 avril 1983.JdeB a écrit :oui, la version Al Capone de JC Auvray, venue de Bâle, et reprise au TCE au début dans années 80...J'ai le programme, il faut que je le retrouve pour être plus précisSchwannhilde a écrit :Un peu hors sujet : j'avais été épatée par la première mise en scène moderne que j'ai vue, Rigoletto à Paris (pas à l'opéra, au TCE peut-être ?) dans les années 80, qui se passait dans le milieu de la mafia aux Etats-Unis. J'avais bien aimé cette transposition spatio-temporelle... Je ne sais pas ce que j'en penserais aujourd'hui.
il y avait une alternance :
Armin Jordan / Jost Meier à la direction
Eduard Tumagian / Gullermo Sarabia dans le rôle-titre.
Michael Svetlev / Paul Frey en duc
G. Raphanel / Barbara Carter en Gilda
le livret est transposé à NY en 1930. Le Duc est décrit par Auvray comme un "petit italien issu des bandes de voyous de Brooklyn, petit frère d'Al Capone" et Rigoletto comme "le cerveau du gang, le trésorier machiavélique", "l'âme damnée du duc", "jalousé et détesté de tous".
Un seul mot a été changé, au deuxième tableau, "bastion" devient "balcon"
Parution de ma biographie "Régine Crespin, La vie et le chant d'une femme" ! Extraits sur https://reginecrespinbiographie.blogspot.com/
Odb-opéra
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