Un petit compte rendu de la représentation du 7 avril lors des Festtage : Barenboim réalise une magnifique représenattion avec un orchestre d un dynamisme intense, tempetueux, mais peut etre un peu trop souvent forte/fortissimo. ceci dit, il y a toujours ces variations de tempi assez radicales qui imposent tout à coup une grande émotion, en général associé à une nuance plus piano, l effet est saisissant, plus réussi qu à la Scala il y a 2 ans encore (par exemple dans le monologue de Marke)
W Meier est toujours à son somet : il y a toujours 2 ut du début de l acte II qui ne passent pas du tout, mais tout le reste est quasi parfait, avec une maitrise du role passionante
Seifert : volime et endurance impressionantes, mais un grand manque d snsibilité qui gache un peu la représentation, au III est presque trop en forme pour etre credible ! Helas, il est toujours aussi faible dans la résence dramatique.
Magnifique Brangaene de Gubanova, timbre somptueux
Kyrwenal decevant de Trakel s ameliorant au III
Et enfin Marke sublime de René PApe :; tou est là, tibre somptueux, musicalité, présence scénique: on en regrette le cote épisodique du role
Melot : affreux
Alors soirée quasi idéale : non, la représenation est plombée par une présnetation scénique lamentable, je ne sais pas si Kupfer a fait retravailler la production mais c 'est nul :certes les ailes de l'ange abritent joliement les amants au II et au II, amis il n y a aucune direction d'acteur, les eclairages sont sommaires, beaucoup de choses ne sont pas traitées, el combatd e la fin du II est ridicule, Seifert est abandonné à son agitation habituelle, les chanteurs manquent de tomber sur la statue (Waltraud avant la liebestod)
Bref alors que pour une fois on tient un bon partenaire pour W Meier, on resort assez décu de ne pas avoir eprouvé le grand frison tristanien.
Grans succés dans la salle, mais moins délirant que pour Parsifal l an dernier
Tristan Berlin Unter den Linden
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