Ce fut très surprenant pour moi en comparant Montepellier en 88 et Bastille en 2018: deux images en négatifPlacidoCarrerotti a écrit : ↑15 oct. 2018, 13:05Dommage. Le plus beau, c'est le duo de l'acte IV.
Le trio de l'acte V est habituellement l'un des sommets de l'oeuvre, mais ni chanté ni coupé comme il l'a été.
Je garde de Montpellier un des plus grands chocs de ma vie lors du duo de IV (pas franchement de souvenir de la bénédiction des poignards) et ne me souviens dans le 5ème acte (avec ballet) uniquement de Leech se battant pour finir avec une voix en lambeaux.
A Paris, le premier tableau m'a impressionné notamment par les mouvements hypnotiques lors de la scène des poignards, j'ai vécu l'enfer lors du duo à la limite de l'inécoutable comme le décrit Paradis-Ph puis un superbe 5ème acte (le meilleur avec le II) avec Kang se sortant enfin les doigts d'un endroit que la décence m'interdit de nommer et prouvant qu'il a un vrai et bel instrument, de Jaho enfin crédible et surtout un Testé d'une présence et d'une élégance admirables