Donizetti – Don Pasquale – Pidò/Michieletto – ONP 06+07/2018
Donizetti – Don Pasquale – Pidò/Michieletto – ONP 06+07/2018
Direction musicale : Evelino Pidò
Mise en scène : Damiano Michieletto
Chef des Choeurs : Alessandro Di Stefano
Don Pasquale : Michele Pertusi
Norina : Nadine Sierra
Dottor Malatesta : Florian Sempey
Ernesto : Lawrence Brownlee
Un notario : Frédéric Guieu
Décors : Paolo Fantin
Costumes : Agostino Cavalca
Lumières : Alessandro Carletti
Vidéo : rocafilm
Orchestre et Chœurs de l’Opéra national de Paris
Coproduction avec le Royal Opera House, Covent Garden, Londres et le Teatro Massimo, Palerme.
https://www.operadeparis.fr/saison-17-1 ... n-pasquale
Palais Garnier - du 06 juin au 12 juillet 2018
Attention SPOILER ! Ne pas lire ce qui suit si vous voulez avoir la surprise du spectacle.
Il semble que le metteur en scène ait décidé de changer la perspective de l'oeuvre en en faisant un opéra plutôt triste sur la solitude, l'incapacité de vivre ensemble et de trouver l'amour vrai. Norina et Ernesto ne finiraient pas ensemble. A confirmer après la première de ce soir ou les échos de l'avant-première jeunes.
Bien sûr il y a des projections en fond de décor avec des gros plans des chanteurs :
https://www.operadeparis.fr/saison-17-1 ... ideshow0/9
Mise en scène : Damiano Michieletto
Chef des Choeurs : Alessandro Di Stefano
Don Pasquale : Michele Pertusi
Norina : Nadine Sierra
Dottor Malatesta : Florian Sempey
Ernesto : Lawrence Brownlee
Un notario : Frédéric Guieu
Décors : Paolo Fantin
Costumes : Agostino Cavalca
Lumières : Alessandro Carletti
Vidéo : rocafilm
Orchestre et Chœurs de l’Opéra national de Paris
Coproduction avec le Royal Opera House, Covent Garden, Londres et le Teatro Massimo, Palerme.
https://www.operadeparis.fr/saison-17-1 ... n-pasquale
Palais Garnier - du 06 juin au 12 juillet 2018
Attention SPOILER ! Ne pas lire ce qui suit si vous voulez avoir la surprise du spectacle.
Il semble que le metteur en scène ait décidé de changer la perspective de l'oeuvre en en faisant un opéra plutôt triste sur la solitude, l'incapacité de vivre ensemble et de trouver l'amour vrai. Norina et Ernesto ne finiraient pas ensemble. A confirmer après la première de ce soir ou les échos de l'avant-première jeunes.
Bien sûr il y a des projections en fond de décor avec des gros plans des chanteurs :
https://www.operadeparis.fr/saison-17-1 ... ideshow0/9
- Michel
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Re: Donizetti – Don Pasquale – Pidò/Michieletto – ONP 06+07/2018
J'étais à la première samedi. Première à tous les sens du terme puisqu'il s'agissait de la première représentation de Don Pasquale de toute l'histoire de l'ONP. Incroyable mais vrai, ce que confirme la fiche de distribution. Après tout, cela ne fait que 175 ans de retard pour une oeuvre qui reste incontournable dans le style opera buffa...
Eh bien, cette entrée au répertoire m'est apparue fort réussie. La mise en scène de Damiano Michieletto fonctionne bien, sans en rajouter dans la grosse farce. A l'entracte, j'avais trouvé le premier acte un peu pauvret et trop dépouillé mais tout prend sens et cohérence avec le second. Effectivement, la fin n'est pas conforme à la tradition et au livret et introduit mélancolie et un poil de cynisme. Michieletto fait bien sûr usage de la tournette mais avec beaucoup plus de modération que pour son Barbier de Séville. Il utilise aussi la vidéo (décidément c'est une mode!) avec insertion des chanteurs en llve sur fonds fixes, ce que voulait faire semble-t-il Ivo van Hove pour Boris à Bastille mais qu'il n'a pas eu le temps de mettre au point avec les retards dus à l'incident technique survenu peu avant Parsifal. Cet usage de la vidéo apporte ici indubitablement quelque chose et contribue au comique (cf. les mimiques inénarrables en gros plan de Lawrence Brownlee durant le duo du II). Gros travail sur la direction d'acteurs qui ne les laisse jamais abandonnés et au repos, au risque d'en faire trop (l'essayage des robes de Norina durant son air d"entrée au I).
Il faut reconnaître que tous sont d'impeccables chanteurs-acteurs et que cela ne semble pas du tout les gêner, bien au contraire. Nadine Sierra est une Norina piquante et délurée à souhait et semble s'amuser des coloratures qui émaillent son rôle, même si la voix tend à s'amincir dans le suraigu qu'elle a cependant facile. Lawrence Brownlee est d'une rare poésie dans le rôle d'Ernesto et son rôle d'adolescent attardé convient bien à son physique disons "inhabituel" et notamment sa petite taille. Florian Sempey ne fait qu'une bouchée du rôle de Malatesta : perfection des vocalises staccato, présence scénique, engagement, ce garçon a tout pour séduire. Seul Michele Pertusi m'a semblé plus en retrait (surtout au premier acte), moins percutant de projection, en déficit de verve (il faut dire que j'ai eu la chance d'y entendre Gabriel Bacquier). Certes, j'ai bien compris que Michieletto trouvait la farce un peu cruelle et voulait nous rendre ce pauvre Don Pasquale sympathique mais le bouffe doit primer à mon sens et sans arrière pensée.
Direction nette et sans bavure de Evelino Pido qui assure impeccablement dynamisme et allant, quoique parfois un peu trop tonitruant (l'ouverture). C'est peut-être ce qui explique les quelques rares huées qui l'on accueilli à la fin alors que, fait exceptionnel, l'équipe de mise en scène ne recueillait que des bravos. Cela faisait longtemps à Paris...
Eh bien, cette entrée au répertoire m'est apparue fort réussie. La mise en scène de Damiano Michieletto fonctionne bien, sans en rajouter dans la grosse farce. A l'entracte, j'avais trouvé le premier acte un peu pauvret et trop dépouillé mais tout prend sens et cohérence avec le second. Effectivement, la fin n'est pas conforme à la tradition et au livret et introduit mélancolie et un poil de cynisme. Michieletto fait bien sûr usage de la tournette mais avec beaucoup plus de modération que pour son Barbier de Séville. Il utilise aussi la vidéo (décidément c'est une mode!) avec insertion des chanteurs en llve sur fonds fixes, ce que voulait faire semble-t-il Ivo van Hove pour Boris à Bastille mais qu'il n'a pas eu le temps de mettre au point avec les retards dus à l'incident technique survenu peu avant Parsifal. Cet usage de la vidéo apporte ici indubitablement quelque chose et contribue au comique (cf. les mimiques inénarrables en gros plan de Lawrence Brownlee durant le duo du II). Gros travail sur la direction d'acteurs qui ne les laisse jamais abandonnés et au repos, au risque d'en faire trop (l'essayage des robes de Norina durant son air d"entrée au I).
Il faut reconnaître que tous sont d'impeccables chanteurs-acteurs et que cela ne semble pas du tout les gêner, bien au contraire. Nadine Sierra est une Norina piquante et délurée à souhait et semble s'amuser des coloratures qui émaillent son rôle, même si la voix tend à s'amincir dans le suraigu qu'elle a cependant facile. Lawrence Brownlee est d'une rare poésie dans le rôle d'Ernesto et son rôle d'adolescent attardé convient bien à son physique disons "inhabituel" et notamment sa petite taille. Florian Sempey ne fait qu'une bouchée du rôle de Malatesta : perfection des vocalises staccato, présence scénique, engagement, ce garçon a tout pour séduire. Seul Michele Pertusi m'a semblé plus en retrait (surtout au premier acte), moins percutant de projection, en déficit de verve (il faut dire que j'ai eu la chance d'y entendre Gabriel Bacquier). Certes, j'ai bien compris que Michieletto trouvait la farce un peu cruelle et voulait nous rendre ce pauvre Don Pasquale sympathique mais le bouffe doit primer à mon sens et sans arrière pensée.
Direction nette et sans bavure de Evelino Pido qui assure impeccablement dynamisme et allant, quoique parfois un peu trop tonitruant (l'ouverture). C'est peut-être ce qui explique les quelques rares huées qui l'on accueilli à la fin alors que, fait exceptionnel, l'équipe de mise en scène ne recueillait que des bravos. Cela faisait longtemps à Paris...
Re: Donizetti – Don Pasquale – Pidò/Michieletto – ONP 06+07/2018
Voilà qui me rassure. Après les tout premiers échos, je commençais à regretter d'avoir réservé pour la reprise dans mon abonnement de la saison 2018/2019 (avec une distribution qui devrait assurer aussi -Yende/Camarena/Kwiecien et à nouveau Pertusi).
Pour ce qui est de la fin, c'est peut-être un peu dommage, mais, bon, on a vu pire. Il y a quand même un moment où Norina a un léger remords, juste après la gifle.
Pour ce qui est de la fin, c'est peut-être un peu dommage, mais, bon, on a vu pire. Il y a quand même un moment où Norina a un léger remords, juste après la gifle.
Le sommeil de la raison engendre des monstres (Goya)
Re: Donizetti – Don Pasquale – Pidò/Michieletto – ONP 06+07/2018
Avec Michieletto je ne suis jamais inquiet, tout ce que j'ai vu de lui a toujours très bien fonctionné, il est notamment un VRAI directeur d'acteurs (ce qui est devenu rare depuis une décennie). Son Elisir d'amore bruxellois-valençais est pour moi une référence, tout comme son Barbiere de l'ONP, et même son Guillaume Tell polémique au ROH est, selon moi, ce qui s'est fait de mieux depuis 30 ans pour cette oeuvre.
Re: Donizetti – Don Pasquale – Pidò/Michieletto – ONP 06+07/2018
Il a quand même loupé son Samson et Dalilade Bastille. Après , c'est affaire de goût et/ou de ressenti personnel. Les transpositions spatio-temporelles, OK, mais l'idée d'injecter de la tristesse ou de la noirceur dans une œuvre de style bouffe, ça me faisait un peu peur.
Le sommeil de la raison engendre des monstres (Goya)
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Re: Donizetti – Don Pasquale – Pidò/Michieletto – ONP 06+07/2018
Très sympa tout ça en effet.
Michieletto assez génial dans son genre décidément (quel humour et quel à propos, et quel directeur d'acteur).
Sierra sublime, virevoltante, très en voix (malgré un ou deux aigus un peu tirés au début), Sempey irrésistible, et en net progrès sur les vocalises (tout en gardant des graves trop peu timbrés, dommage), Pertusi très en forme aussi et parfaitement adéquat au rôle, Brownlee surprenant campant un Ernesto totalement inhabituel et extrêmement convainquant, Pido un peu lent et un peu castrateur comme d'hab' mais la musique de Donizetti a eu le dessus.
Bref, on s'amuuuuuuse.
(même si la fin manie un peu l'humour noir...)
Photo © Vincent Pontet / OnP
PS : les décors représentent une maison avec ses pièces et sa terrasse, mais sans représentation physique des murs. Acte 1 et 2 : une maison assez cheap, acte 3 : la même mais avec des accessoires de riches (trouvailles remplies d'humour ). Je me demandais à quel film cela me faisait penser, j'ai trouvé : Dogville de Lars Von Trier, qui adopte le même principe.
Un décor du film
Très belle utilisation de la vidéo et de l'incrustation. Michieletto a fait du Van Hove. amusant.
A noter : Retransmission en direct au cinéma (Viva l’Opéra), le 19 juin 2018.
http://passionoperaheleneadam.blogspot. ... gb-ja.html
Michieletto assez génial dans son genre décidément (quel humour et quel à propos, et quel directeur d'acteur).
Sierra sublime, virevoltante, très en voix (malgré un ou deux aigus un peu tirés au début), Sempey irrésistible, et en net progrès sur les vocalises (tout en gardant des graves trop peu timbrés, dommage), Pertusi très en forme aussi et parfaitement adéquat au rôle, Brownlee surprenant campant un Ernesto totalement inhabituel et extrêmement convainquant, Pido un peu lent et un peu castrateur comme d'hab' mais la musique de Donizetti a eu le dessus.
Bref, on s'amuuuuuuse.
(même si la fin manie un peu l'humour noir...)
Photo © Vincent Pontet / OnP
PS : les décors représentent une maison avec ses pièces et sa terrasse, mais sans représentation physique des murs. Acte 1 et 2 : une maison assez cheap, acte 3 : la même mais avec des accessoires de riches (trouvailles remplies d'humour ). Je me demandais à quel film cela me faisait penser, j'ai trouvé : Dogville de Lars Von Trier, qui adopte le même principe.
Un décor du film
Très belle utilisation de la vidéo et de l'incrustation. Michieletto a fait du Van Hove. amusant.
A noter : Retransmission en direct au cinéma (Viva l’Opéra), le 19 juin 2018.
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Lui : Que sous mes pieds se déchire la terre ! que sur mon front éclate le tonnerre, je t'aime, Élisabeth ! Le monde est oublié !
Elle : Eh bien ! donc, frappez votre père ! venez, de son meurtre souillé, traîner à l'autel votre mère
Mon blog :
https://passionoperaheleneadam.blogspot.fr
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Re: Donizetti – Don Pasquale – Pidò/Michieletto – ONP 06+07/2018
Vu hier soir .
Tout d'abord , un cast impeccable .Sempey génial dans ce genre de rôle , Sierra irrésistible de drôlerie, super jolie à regarder et à voir évoluer- avec qq aigus un peu tirés , il est vrai , Pertusi peut-être un peu moins à l'aise que dans ses emplois seria rossiniens , mais grand maître du chant syllabique , et Brownlee superbe d'aisance et d'élégance, avec cette couleur de voix que j'adore et qui me rappelle le grand Matteuzzi. Le duo Sierra / Brownlee touchait d'ailleurs au sublime , et le duo Sempey/ Pertusi ( rappelant le duo des basses bouffe dans Cenerentola) était parfait , même si Pido avait pris des tempi infernaux sur le chant syllabique.
Parlons en du Pido . Après une ouverture catastrophique , car encapsulant tous les défauts pidesques ( volonté d'esbrouffe , sécheresse, sans parler des cuivres assez calamiteux) , il s'est à peu près tenu , se permettant quand même bien trop souvent de couvrir les voix , ce qui est un crime quand on a des chanteurs de ce niveau.
Michieletto remet plutôt une bonne copie .C'est pas génial , c'est un peu pompé à droite à gauche , c'est chargé ,mais enfin , pour ce qui est une farce dans la tradition napolitaine -même si elle se passe à Rome- ça fonctionne. Et dans le 3e acte , il y a même quelques très beaux moments. Pour Hélène , bravo d'avoir retrouvé Dogville du grand Lars Von Trier, mais chez Lars , les plans de maisons étaient dessinés au sol. Ici , le volume est évoqué par le toit en néons. De toute façon , Michieletto avait déjà utilisé le plan au sol pour sa Scala di Seta pésaresque.Et pour ce qui est des incrust video, ça vient direct de la Pietra del Paragone du Châtelet.
Hier soir , le public , un peu froid au début , a fait un triomphe mérité aux chanteurs. La dame à côté de moi a dit à son mari , en se pinçant le nez : " C'est quand même de la grosse farce". Que doit-elle dire quand le Français donne Le Médecin malgré lui ou On purge Bébé ?????
PS : On est quand même étonné quand on lit que Don Pasquale a été créé en 1843 , c'est à dire 30 ans après les grands bouffes rossiniens .Cela dit , les trouvailles mélodiques abondent , même si dans la dernière partie de la prolifique oeuvre du maître
je préfère le semi seria Linda Di Chamounix.
Tout d'abord , un cast impeccable .Sempey génial dans ce genre de rôle , Sierra irrésistible de drôlerie, super jolie à regarder et à voir évoluer- avec qq aigus un peu tirés , il est vrai , Pertusi peut-être un peu moins à l'aise que dans ses emplois seria rossiniens , mais grand maître du chant syllabique , et Brownlee superbe d'aisance et d'élégance, avec cette couleur de voix que j'adore et qui me rappelle le grand Matteuzzi. Le duo Sierra / Brownlee touchait d'ailleurs au sublime , et le duo Sempey/ Pertusi ( rappelant le duo des basses bouffe dans Cenerentola) était parfait , même si Pido avait pris des tempi infernaux sur le chant syllabique.
Parlons en du Pido . Après une ouverture catastrophique , car encapsulant tous les défauts pidesques ( volonté d'esbrouffe , sécheresse, sans parler des cuivres assez calamiteux) , il s'est à peu près tenu , se permettant quand même bien trop souvent de couvrir les voix , ce qui est un crime quand on a des chanteurs de ce niveau.
Michieletto remet plutôt une bonne copie .C'est pas génial , c'est un peu pompé à droite à gauche , c'est chargé ,mais enfin , pour ce qui est une farce dans la tradition napolitaine -même si elle se passe à Rome- ça fonctionne. Et dans le 3e acte , il y a même quelques très beaux moments. Pour Hélène , bravo d'avoir retrouvé Dogville du grand Lars Von Trier, mais chez Lars , les plans de maisons étaient dessinés au sol. Ici , le volume est évoqué par le toit en néons. De toute façon , Michieletto avait déjà utilisé le plan au sol pour sa Scala di Seta pésaresque.Et pour ce qui est des incrust video, ça vient direct de la Pietra del Paragone du Châtelet.
Hier soir , le public , un peu froid au début , a fait un triomphe mérité aux chanteurs. La dame à côté de moi a dit à son mari , en se pinçant le nez : " C'est quand même de la grosse farce". Que doit-elle dire quand le Français donne Le Médecin malgré lui ou On purge Bébé ?????
PS : On est quand même étonné quand on lit que Don Pasquale a été créé en 1843 , c'est à dire 30 ans après les grands bouffes rossiniens .Cela dit , les trouvailles mélodiques abondent , même si dans la dernière partie de la prolifique oeuvre du maître
je préfère le semi seria Linda Di Chamounix.
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Re: Donizetti – Don Pasquale – Pidò/Michieletto – ONP 06+07/2018
Juste un détail. Michel note que l'ONP affirme que c'est une première . Je suis pourtant comme lui . J'ai bien vu Bacquier à l'Opéra Comique , avec l'inoubliable Blake .Et l'OC dépendait bien de l'Opéra de Paris à cette époque ???
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Re: Donizetti – Don Pasquale – Pidò/Michieletto – ONP 06+07/2018
Et les vidéos de la Pietra étaient de Pierrick Sorin. Rendons à César...