oui il s'agit de deux opéras différents : un sombre centré sur Boris et l'autre plus grande fresque basée sur la Russie éternelle
la mise en scène actuelle convient parfaitement à la première lecture sans les fanfreluches polonaises
oui il s'agit de deux opéras différents : un sombre centré sur Boris et l'autre plus grande fresque basée sur la Russie éternelle
Tout à fait d’accord : Abdrazakov et Jurowski excellents, Anger extraordinaire (je l’entendais en vrai pour la première fois : renversant !).Loïs a écrit : ↑17 juin 2018, 01:184ème opéra de la semaine et toujours pas blasé grâce à un superbe Boris (soirée du 16 juin)
Tout a été dit sur l'excellence de la distribution Jurowski en tête, Abradzakov magnifique et poignant dans sa deuxième scène et dans l'utime phase de la mort, Anger grand diseur comme le soulignait Hélène et un rôle à rajouter dans la galerie des rôles en or : l’innocent d'Efimov.
Peut être le sommet de la soirée : le face à face Boris-Chouiski avec un Paster suintant la traitrise e à l'écoeurante mielerie.
Deuxième fois (après Mariinski) que je voyais cette version et je crois qu'elle emporte mon adhésion. Comment repartir en forêt après la mort de Boris? Et tant pis pour le duo polonais, on l'écoutera séparément.
pas remplie au 1è balcon.HELENE ADAM a écrit : ↑14 juin 2018, 13:33Retour sur la séance du 13 juin
La salle était remplie et une immense ovation finale a accueilli Boris d’abord puis l’ensemble des artistes. On peut discuter des qualités de l'oeuvre (très, très sombre et pas facile à aborder) mais si on veut la découvrir, cette distribution et cette exceptionnelle qualité donnée à Bastille en ce
Le remplissage était tout de même important…Oui, Boris exceptionnel !