[/quote]
Tu peux réécouter par ce lien
http://oe1.orf.at/player/20171112/496752
[/quote]
Merci
Profitez en pour aller juste réécouter le « Melpomene son io » à quelques minutes de la fin; ça résume en une phrase la puissance de la dame !
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On peut également télécharger le fichier (287 MO, environ 6 mn 30).
fomalhaut
Cilea - Adriana Lecouvreur - Pido/Mc Vicar - Vienne - 11/2017
- MariaStuarda
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Re: Cilea - Adriana Lecouvreur - Pido/Mc Vicar - Vienne - 11/2017
Je veux bien savoir aussi
Re: Cilea - Adriana Lecouvreur - Pido/Mc Vicar - Vienne - 11/2017
Intéressé aussi par la méthode de téléchargement (MP?). Merci
Re: Cilea - Adriana Lecouvreur - Pido/Mc Vicar - Vienne - 11/2017
Voila une question bien étrange !
J'ai simplement "cliqué" sur le lien indiqué par Hélène...arrivé sur le site Ö1, la diffusion a commencé et, simultanément, un message s'est affiché : télécharger ce fichier video, ce que j'ai fait.
Mon PC date de 2011, le système d'exploitation est Windows 7 Pro et j'utilise le logiciel de téléchargement Internet Download Manager que j'ai acheté (€ 22.65) en juin 2011. Ce logiciel est régulièrement mis à jour par son fabriquant
http://www.01net.com/telecharger/window ... 24233.html
fomalhaut
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Re: Cilea - Adriana Lecouvreur - Pido/Mc Vicar - Vienne - 11/2017
Je viens de réécouter le monologue de Phèdre entre 20h35 et 20h40; c'est magnifique; si on pouvait rajouter à cela le volume réel de la dame et les images saisissantes à ce moment là, c'est monstrueux.
-
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Re: Cilea - Adriana Lecouvreur - Pido/Mc Vicar - Vienne - 11/2017
Troisième représentation du mercredi 15.
Belle soirée.
Le timbre opulent et le souffle très naturel et égal de Netrebko impressionne dès la première mesure.
Elle est ma cinquième Adriana sur scène et elle surplombe d'emblée tous les autres par sa voix exceptionnellement riche en volume et brillance. Et elle n'est pas en reste non plus comme diseuse surtout avec son articulation soignée et naturelle de « io son l'umile ancella » et « ecco la luce » qui m'obsèdent encore.
Comme interprète d'Adriana elle est aussi marquante que Kabaivanska en 93 ( remarquable diseuse élégante et intelligente mais plus de voix ) et Freni également en 93 ( encore belle voix mais en déclin, belle articulation et belle composition ) pour moi.
Gheorghiu en 15 n'avait plus de voix, mais elle composait le rôle avec réflexion, esprit et humeur. Netrebko n'a peut-être pas toujours ces subtilité et versatilité, mais avec sa voix exceptionnelle le résultat final est tout autre chose.
J'ai bien aimé la Princesse de Bouillon de Zhidkova. Elle n'a ni l'ampleur ni le médium riche à la Cossotto ou Borodina, mais le chant élégant sans abus de poitrinage qui ne manque pas d'abbatage. Très beau souffle allongé à la fin de « acerba voluttà » et le duo enchanteur avec Netrebko à cause du beau mariage de timbres.
Bon Maurizio à la fois racé et puissant de Beczala. Aussi convaincant que son Werther à Bastille en 16.
Frontali humain en Michonnet.
Une certaine efficacité dans la direction de Pido qui est plus à l'aise dans ce repertoire que dans le bel canto, bien qu'il n'ait pas trop de sens des couleurs orchestrales.
Belle soirée.
Le timbre opulent et le souffle très naturel et égal de Netrebko impressionne dès la première mesure.
Elle est ma cinquième Adriana sur scène et elle surplombe d'emblée tous les autres par sa voix exceptionnellement riche en volume et brillance. Et elle n'est pas en reste non plus comme diseuse surtout avec son articulation soignée et naturelle de « io son l'umile ancella » et « ecco la luce » qui m'obsèdent encore.
Comme interprète d'Adriana elle est aussi marquante que Kabaivanska en 93 ( remarquable diseuse élégante et intelligente mais plus de voix ) et Freni également en 93 ( encore belle voix mais en déclin, belle articulation et belle composition ) pour moi.
Gheorghiu en 15 n'avait plus de voix, mais elle composait le rôle avec réflexion, esprit et humeur. Netrebko n'a peut-être pas toujours ces subtilité et versatilité, mais avec sa voix exceptionnelle le résultat final est tout autre chose.
J'ai bien aimé la Princesse de Bouillon de Zhidkova. Elle n'a ni l'ampleur ni le médium riche à la Cossotto ou Borodina, mais le chant élégant sans abus de poitrinage qui ne manque pas d'abbatage. Très beau souffle allongé à la fin de « acerba voluttà » et le duo enchanteur avec Netrebko à cause du beau mariage de timbres.
Bon Maurizio à la fois racé et puissant de Beczala. Aussi convaincant que son Werther à Bastille en 16.
Frontali humain en Michonnet.
Une certaine efficacité dans la direction de Pido qui est plus à l'aise dans ce repertoire que dans le bel canto, bien qu'il n'ait pas trop de sens des couleurs orchestrales.