Je veux en être définitivement convaincu !
Donizetti - Lucia di Lammermoor - Mariotti/Mitchell - ROH - 11/2017
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Re: Donizetti - Lucia di Lammermoor - Mariotti / Mitchell - ROH - 11/2017
"Venez armé, l'endroit est désert" (GB Shaw envoyant une invitation pour l'une de ses pièces).
- MariaStuarda
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Re: Donizetti - Lucia di Lammermoor - Mariotti/Mitchell - ROH - 11/2017
Mon compte-rendu figure en tête du fil
Re: Donizetti - Lucia di Lammermoor - Mariotti/Mitchell - ROH - 11/2017
Ah me voilà rassuré! La mise en scène et le ténor n'ont pas été touchés par la Grâce comme certains commentaires essayaient de le faire croire
Et te plains pas , toi tu auras eu un vrai chef d'orchestre!
Re: Donizetti - Lucia di Lammermoor - Mariotti/Mitchell - ROH - 11/2017
C'était exactement pareil pour Damrau. A l'époque j'en avais incriminé et Damrau et Oren, mais en te lisant je me demande si le problème n'est pas tout bêtement la production qui les conduit à tant de froideur ?MariaStuarda a écrit : ↑03 nov. 2017, 12:24Lisette Oropesa (...) ce chant n’est pas au service de l’émotion. La performance vocale est certes un plaisir pour l’oreille. Mais lorsque cela réduit la sublime scène de la folie à un exercice parfait de trilles, de pianis et d’aigus sans que jamais cela n’arrive à nous transporter, cela rend une Lucia, ce chef d’œuvre dont l’axe tourne autour ce cette scène, bien transparent et bien fade.
Re: Donizetti - Lucia di Lammermoor - Mariotti/Mitchell - ROH - 11/2017
Je ne peux que parler de Damrau mais à l'époque j'ai parlé de la schizophrénie à faire scéniquement de Lucia une femme forte et vocalement une victime.paco a écrit : ↑12 nov. 2017, 14:47C'était exactement pareil pour Damrau. A l'époque j'en avais incriminé et Damrau et Oren, mais en te lisant je me demande si le problème n'est pas tout bêtement la production qui les conduit à tant de froideur ?MariaStuarda a écrit : ↑03 nov. 2017, 12:24Lisette Oropesa (...) ce chant n’est pas au service de l’émotion. La performance vocale est certes un plaisir pour l’oreille. Mais lorsque cela réduit la sublime scène de la folie à un exercice parfait de trilles, de pianis et d’aigus sans que jamais cela n’arrive à nous transporter, cela rend une Lucia, ce chef d’œuvre dont l’axe tourne autour ce cette scène, bien transparent et bien fade.
Si Mitchell savait lire une partition et avait abandonné la lecture du livret au prisme de son militantisme, elle aurait vu le hiatus