Une basse taille est une basse chantante et de plus ces deux artistes ne sont pas très grands.
Oui je sais, quand il faut expliquer ce n'est plus drôle (à supposer que ce le fut avant !).
Une basse taille est une basse chantante et de plus ces deux artistes ne sont pas très grands.
Placido préfère quand Jordan fait tout péter !
Tu comprends ma terreur quand certains pronostiquent Noseda pour remplacer Jordan
Exactement ce qui m'a gêné aussi, des tempi beaucoup trop rapides. L'action avance, mais ne fait finalement que ça. Seul "Patria oppressa" a prouvé que Noseda était capable de prendre son temps.PlacidoCarrerotti a écrit : ↑25 oct. 2017, 08:44Très gêné par la direction de Noseda : trop rapide, sans mystère, incapable de rendre les couleurs glauques de la partition... Certes, il y a de l'allant, mais pas de drame.
Je n'aime pas non plus la façon dont il castre l'orchestre : le son est uniforme et plat, pas un éclat de cymbale ne vient perturber de niveau uniforme des décibels. J'avais l'impression que c'était passé à l'équaliseur. J'avais eu le même ressenti pour Lucia au TCE et le Trouvère à Londres. Je dois être le seul !
il y a quelques temps vous fustigiez Muti à Salzbourg pour sa direction molle et soporifique et voila que maintenant Noseda a une direction uniforme et plate ????? si c est comme ça il faut que j'aille chez l'orl de toute urgencePlacidoCarrerotti a écrit : ↑25 oct. 2017, 09:15Tu comprends ma terreur quand certains pronostiquent Noseda pour remplacer Jordan
Vous devez confondre. Je n'ai pas vu le spectacle que vous mentionnez et je n'en ai pas parlé.enrico75 a écrit : ↑25 oct. 2017, 10:39il y a quelques temps vous fustigiez Muti à Salzbourg pour sa direction molle et soporifique et voila que maintenant Noseda a une direction uniforme et plate ????? si c est comme ça il faut que j'aille chez l'orl de toute urgencePlacidoCarrerotti a écrit : ↑25 oct. 2017, 09:15Tu comprends ma terreur quand certains pronostiquent Noseda pour remplacer Jordan
Tu as pensé toute la soirée au curé de Cucugnan pendant Macbeth ?offenbach a écrit : ↑25 oct. 2017, 10:01Exactement ce qui m'a gêné aussi, des tempi beaucoup trop rapides. L'action avance, mais ne fait finalement que ça. Seul "Patria oppressa" a prouvé que Noseda était capable de prendre son temps.PlacidoCarrerotti a écrit : ↑25 oct. 2017, 08:44Très gêné par la direction de Noseda : trop rapide, sans mystère, incapable de rendre les couleurs glauques de la partition... Certes, il y a de l'allant, mais pas de drame.
Je n'aime pas non plus la façon dont il castre l'orchestre : le son est uniforme et plat, pas un éclat de cymbale ne vient perturber de niveau uniforme des décibels. J'avais l'impression que c'était passé à l'équaliseur. J'avais eu le même ressenti pour Lucia au TCE et le Trouvère à Londres. Je dois être le seul !
La première cabalette de la Lady prise à fond de train, et surtout le Somnambulisme du coup sans aucune hypnose, les deux mettant je trouve Pirozzi presque en danger. Et encore, elle a réussi à en faire quelque chose malgré ce train de poste. J'ai pensé toute la soirée au curé de Cucugnan de Daudet.
J'ai surtout pensé que si Noseda avait un vol retour à 23h, il allait réussir à le choper. Mais oui, on aurait dit qu'il devait rentrer au plus vite chez lui, comme le curé de Cucugnan qui pense aux cailles rôties et expédie ses deux dernières messes.Bernard C a écrit : ↑25 oct. 2017, 11:30Tu as pensé toute la soirée au curé de Cucugnan pendant Macbeth ?offenbach a écrit : ↑25 oct. 2017, 10:01Exactement ce qui m'a gêné aussi, des tempi beaucoup trop rapides. L'action avance, mais ne fait finalement que ça. Seul "Patria oppressa" a prouvé que Noseda était capable de prendre son temps.PlacidoCarrerotti a écrit : ↑25 oct. 2017, 08:44Très gêné par la direction de Noseda : trop rapide, sans mystère, incapable de rendre les couleurs glauques de la partition... Certes, il y a de l'allant, mais pas de drame.
Je n'aime pas non plus la façon dont il castre l'orchestre : le son est uniforme et plat, pas un éclat de cymbale ne vient perturber de niveau uniforme des décibels. J'avais l'impression que c'était passé à l'équaliseur. J'avais eu le même ressenti pour Lucia au TCE et le Trouvère à Londres. Je dois être le seul !
La première cabalette de la Lady prise à fond de train, et surtout le Somnambulisme du coup sans aucune hypnose, les deux mettant je trouve Pirozzi presque en danger. Et encore, elle a réussi à en faire quelque chose malgré ce train de poste. J'ai pensé toute la soirée au curé de Cucugnan de Daudet.
B.