D'ailleurs Maeterlinck était très mécontent du résultat. Dans un article dans le Figaro, Maeterlinck écrit en 1902: je souhaite à Pelléas et Mélisande une chute prompte et retentissante...
Pelléas et Mélisande fait partie des cinq ou six opéras de mon Panthéon musical. Il illustre de façon idéale, la fusion de la poésie et de la musique. J'ai été saisi à la première audition par la beauté, le charme et le mystère qui s'en dégagent.
je l'ai découvert, il y a bien longtemps, dans une version d'Ansermet avec Camille Maurane et Erna Sporenberg dans les rôles titres. Très récemment une version m'a énormément touché, celle mise en scène par Robert Wilson avec Elena Tsallagova et Stéphane Degout dans les rôles titres.