Alfano - Cyrano de Bergerac - Armiliato/Zambello - New York - 05/2017
Re: Alfano - Cyrano de Bergerac - Armiliato/Zambello - New York - 05/2017
Ici elle chante en français — si si, je vous le dis...
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« Life’s but a walking shadow, a poor player / That struts and frets his hour upon the stage / And then is heard no more. It is a tale / Told by an idiot, full of sound and fury, / Signifying nothing. »
— Shakespeare, Macbeth
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Re: Alfano-Cyrano de Bergerac-Armiliato/Zambello-New York 05/17
Et oui. Prédiction erronée. Elle s'est bien améliorée mais le problème de variations de couleurs reste entier et c'est un handicap dans le belcanto.Adalbéron a écrit : ↑04 mai 2017, 11:51Et c'est signé... Placido Carrerotti !
"Venez armé, l'endroit est désert" (GB Shaw envoyant une invitation pour l'une de ses pièces).
Re: Alfano-Cyrano de Bergerac-Armiliato/Zambello-New York 05/17
Oui, tout à fait.PlacidoCarrerotti a écrit : ↑04 mai 2017, 12:29Et oui. Prédiction erronée. Elle s'est bien améliorée mais le problème de variations de couleurs reste entier et c'est un handicap dans le belcanto.Adalbéron a écrit : ↑04 mai 2017, 11:51Et c'est signé... Placido Carrerotti !
« Life’s but a walking shadow, a poor player / That struts and frets his hour upon the stage / And then is heard no more. It is a tale / Told by an idiot, full of sound and fury, / Signifying nothing. »
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Re: Alfano - Cyrano de Bergerac - Armiliato/Zambello - New York - 05/2017
HS: un jour je fais entendre mon live du concert Rossini à Versailles à un pote. "Tu vois, Mathilde, on comprend rien". Il écoute attentivement et, triomphant, me dit "Bien sûr ! C'est la version italienne".
Inutile de préciser qu'il s'agissait bien de la version française "Chombrohofohé kéyévou chichouban".
"Venez armé, l'endroit est désert" (GB Shaw envoyant une invitation pour l'une de ses pièces).
Re: Alfano - Cyrano de Bergerac - Armiliato/Zambello - New York - 05/2017
C'était à propos de Caballé ?PlacidoCarrerotti a écrit : ↑04 mai 2017, 13:27HS: un jour je fais entendre mon live du concert Rossini à Versailles à un pote. "Tu vois, Mathilde, on comprend rien". Il écoute attentivement et, triomphant, me dit "Bien sûr ! C'est la version italienne".
Inutile de préciser qu'il s'agissait bien de la version française "Chombrohofohé kéyévou chichouban".
« Life’s but a walking shadow, a poor player / That struts and frets his hour upon the stage / And then is heard no more. It is a tale / Told by an idiot, full of sound and fury, / Signifying nothing. »
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Re: Alfano - Cyrano de Bergerac - Armiliato/Zambello - New York - 05/2017
un Cyrano filmé à Valence a été télédiffusé il y a quelques années avec Radva et Domingo.
Re: Alfano-Cyrano de Bergerac-Armiliato/Zambello-New York 05/17
C'est assez curieux.PlacidoCarrerotti a écrit : ↑04 mai 2017, 12:29Et oui. Prédiction erronée. Elle s'est bien améliorée mais le problème de variations de couleurs reste entier et c'est un handicap dans le belcanto.Adalbéron a écrit : ↑04 mai 2017, 11:51Et c'est signé... Placido Carrerotti !
Elle sévit, pour une bonne part de ses activités, dans le répertoire belcantiste (Norma, Anna Bolena, Maria Stuarda, Roberto Devereux, Ernani voire Il Trovatore). Elle a eu des problèmes vocaux en 2002, je crois, et elle a ultérieurement déclaré que l'étude du rôle de Lucrezia Borgia l'avait remise d'aplomb. A ma connaissance, elle a chanté Lucrezia Borgia à Las Palmas (2007) et Washington (2008).
fomalhaut
Re: Alfano - Cyrano de Bergerac - Armiliato/Zambello - New York - 05/2017
Représentation du 6 mai 2017
Extraordinaire triomphe de Roberto Alagna ,. Sublime et incomparable Cyrano cet après midi.
Dans une mise en scène qui n'a pas pris une ride et tirée au cordeau Roberto avec une liberté dans une voix rayonnante comme je ne l'ai plus entendu à ce degré de perfection depuis des années , emporte le Met dans un flot de passion .
Somptueux non seulement de couleurs de timbre mais d'aisance dans la puissance et les aigus , son Cyrano occupe tout le plateau de sa présence émouvante.
Le reste de la distribution et l'orchestre est épatant.
Ces deux premiers actes nous apportent un bonheur d'opéra dont il nous manquait la plénitude hier soir avec le Rosenkavalier.
Bernard
Extraordinaire triomphe de Roberto Alagna ,. Sublime et incomparable Cyrano cet après midi.
Dans une mise en scène qui n'a pas pris une ride et tirée au cordeau Roberto avec une liberté dans une voix rayonnante comme je ne l'ai plus entendu à ce degré de perfection depuis des années , emporte le Met dans un flot de passion .
Somptueux non seulement de couleurs de timbre mais d'aisance dans la puissance et les aigus , son Cyrano occupe tout le plateau de sa présence émouvante.
Le reste de la distribution et l'orchestre est épatant.
Ces deux premiers actes nous apportent un bonheur d'opéra dont il nous manquait la plénitude hier soir avec le Rosenkavalier.
Bernard
Sunt lacrymae rerum et mentem mortalia tangunt Énéide I v