Dvořák - Rusalka - Hrůša/Carsen - ONP - 04/2015
Dvořák - Rusalka - Hrůša/Carsen - ONP - 04/2015
RUSALKA
Conte lyrique en trois actes créé le 31 mars 1901 au Théâtre national de Prague
Musique d’Antonín DVOŘÁK (1841-1904)
Livret de Jaroslav KVAPIL (1868-1950)
En langue tchèque
Ce soir, premiéře à l'Opéra Bastille (pour huit représentations du 3 au 26 avril 2015) de la production créée en 2002 (du 19 juin au 11 juillet 2002) et reprise en 2005 (du 9 au 27 septembre 2005).
• Jakub Hrůša | Direction musicale
• Robert Carsen | Mise en scène
• Michael Levine | Décors et costumes
• Robert Carsen / Peter Van Praet | Lumières
• Philippe Giraudeau | Chorégraphie
• José Luis Basso | Chef des Chœurs
▪ Alisa Kolosova | La Princesse étrangère
▪ Pavel Cernoch | Le Prince
▪ Svetlana Aksenova (3, 7, 10, 13 avril) | Rusalka
▪ Kristine Opolais (16, 18, 23, 26 avril) | Rusalka
▪ Dimitry Ivashchenko | L’Esprit du lac
▪ Larissa Diadkova | Ježibaba
▪ Igor Gnidii | Le Garde-forestier
▪ Diana Axentii | Le Garçon de cuisine
▪ Yun Jung Choi | Première Nymphe
▪ Alžběta Poláčková (3 et 7 avril) | Deuxième Nymphe
▪ Anna Wall (10, 13, 16, 18, 23, 26 avril) | Deuxième Nymphe
▪ Agata Schmidt | Troisième Nymphe
▪ Orchestre et Chœur de l’Opéra national de Paris
* Diffusion en différé sur France Musique le 02/05/2015 à 19h08 (enregistrements des 10 et 13 avril selon l'info donnée ici — par Ingrid).
Conte lyrique en trois actes créé le 31 mars 1901 au Théâtre national de Prague
Musique d’Antonín DVOŘÁK (1841-1904)
Livret de Jaroslav KVAPIL (1868-1950)
En langue tchèque
Ce soir, premiéře à l'Opéra Bastille (pour huit représentations du 3 au 26 avril 2015) de la production créée en 2002 (du 19 juin au 11 juillet 2002) et reprise en 2005 (du 9 au 27 septembre 2005).
• Jakub Hrůša | Direction musicale
• Robert Carsen | Mise en scène
• Michael Levine | Décors et costumes
• Robert Carsen / Peter Van Praet | Lumières
• Philippe Giraudeau | Chorégraphie
• José Luis Basso | Chef des Chœurs
▪ Alisa Kolosova | La Princesse étrangère
▪ Pavel Cernoch | Le Prince
▪ Svetlana Aksenova (3, 7, 10, 13 avril) | Rusalka
▪ Kristine Opolais (16, 18, 23, 26 avril) | Rusalka
▪ Dimitry Ivashchenko | L’Esprit du lac
▪ Larissa Diadkova | Ježibaba
▪ Igor Gnidii | Le Garde-forestier
▪ Diana Axentii | Le Garçon de cuisine
▪ Yun Jung Choi | Première Nymphe
▪ Alžběta Poláčková (3 et 7 avril) | Deuxième Nymphe
▪ Anna Wall (10, 13, 16, 18, 23, 26 avril) | Deuxième Nymphe
▪ Agata Schmidt | Troisième Nymphe
▪ Orchestre et Chœur de l’Opéra national de Paris
* Diffusion en différé sur France Musique le 02/05/2015 à 19h08 (enregistrements des 10 et 13 avril selon l'info donnée ici — par Ingrid).
Re: Dvořák - Rusalka - Hrůša/Carsen - ONP - 04/2015
une des grandes productions de Carsen qu'on se réjouit toujours de re/voir !
Parution de ma biographie "Régine Crespin, La vie et le chant d'une femme" ! Extraits sur https://reginecrespinbiographie.blogspot.com/
Odb-opéra
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- jean-didier
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Re: Dvořák - Rusalka - Hrůša/Carsen - ONP - 04/2015
Magnifique production effectivement dont j'avais oublié certains détails (dont la scène en contre-plongée à l'acte 3 avec Jezibaba dans le lit, comme Mme de Croissy dans la scène de sa mort avec Py ...).
Musicalement, je suis un peu mitigé. Rusalka a une belle voix corsée qui sonne sur toute la tessiture, l'aigu est parfois très beau, parfois à l'arrache et métallique. Elle incarne scéniquement une ondine toute à fait crédible avec un jeu qui s'est admirablement bien intégré à la mise en scène.
L'ondin, son père, se révèle dans son air de l'acte 3 avec une voix qui s'est affirmé au cours de la représentation.
Pareil pour le ténor, à son entrée j'ai eu un peu peur, la voix me faisait désagréablement penser à des voix de type Charles Workman sans trop de couleur et très raide, mais il arrive en fin de parcours à s'imposer (avec un contre-ut tout en finesse, au point qu'on ne se rend même pas compte de la hauteur de la note).
Larissa Diadkova, seule nom vraiment connu de la distribution, accuse les années. La voix a perdu de sa substance et le vibrato s'est élargi, même si sa sorcière est tout à fait crédible.
La direction du chef est un peu brouillonne (il est né en 1981, ça n'a pas de rapport ) et manque de contraste dans les tempi et les atmosphères. Il connaît par cœur toutes les répliques, les mimant toutes en même temps que les solistes ! Mon ressenti est à moduler par le fait que du 2e rang (la salle était bien peu remplie), l'acoustique était pourrie de chez pourrie, il n'y avait quasiment pas de violons qui semblaient jouer en sourdine et avec de l'écho et tous les détails orchestraux étaient noyés dans une espèce de bouillie sonore. Je n'avais pas ce souvenir pour les séries précédentes que j'avais vues depuis le 2e balcon ...
Après le Cid lundi c'est au tour de Rusalka de faire les frais de problèmes techniques. Après le 1er air de Jezibaba (dont le solo de violoncelle me donne la chair de poule à chaque fois), la chambre à coucher se coince avant de toucher le sol. Le rideau se baisse en catastrophe au milieu de la musique. Le public docile, voit le rideau se baisser donc applaudit. Pavlov quand tu nous tiens ...
Musicalement, je suis un peu mitigé. Rusalka a une belle voix corsée qui sonne sur toute la tessiture, l'aigu est parfois très beau, parfois à l'arrache et métallique. Elle incarne scéniquement une ondine toute à fait crédible avec un jeu qui s'est admirablement bien intégré à la mise en scène.
L'ondin, son père, se révèle dans son air de l'acte 3 avec une voix qui s'est affirmé au cours de la représentation.
Pareil pour le ténor, à son entrée j'ai eu un peu peur, la voix me faisait désagréablement penser à des voix de type Charles Workman sans trop de couleur et très raide, mais il arrive en fin de parcours à s'imposer (avec un contre-ut tout en finesse, au point qu'on ne se rend même pas compte de la hauteur de la note).
Larissa Diadkova, seule nom vraiment connu de la distribution, accuse les années. La voix a perdu de sa substance et le vibrato s'est élargi, même si sa sorcière est tout à fait crédible.
La direction du chef est un peu brouillonne (il est né en 1981, ça n'a pas de rapport ) et manque de contraste dans les tempi et les atmosphères. Il connaît par cœur toutes les répliques, les mimant toutes en même temps que les solistes ! Mon ressenti est à moduler par le fait que du 2e rang (la salle était bien peu remplie), l'acoustique était pourrie de chez pourrie, il n'y avait quasiment pas de violons qui semblaient jouer en sourdine et avec de l'écho et tous les détails orchestraux étaient noyés dans une espèce de bouillie sonore. Je n'avais pas ce souvenir pour les séries précédentes que j'avais vues depuis le 2e balcon ...
Après le Cid lundi c'est au tour de Rusalka de faire les frais de problèmes techniques. Après le 1er air de Jezibaba (dont le solo de violoncelle me donne la chair de poule à chaque fois), la chambre à coucher se coince avant de toucher le sol. Le rideau se baisse en catastrophe au milieu de la musique. Le public docile, voit le rideau se baisser donc applaudit. Pavlov quand tu nous tiens ...
Re: Dvořák - Rusalka - Hrůša/Carsen - ONP - 04/2015
oui, il ne faut jamais se forger une opinion sur un orchestre depuis les premiers rangs du parterre, le son y est souvent très différent par rapport au reste de la salle. Ces places sont idéales pour bien voir les visages et les émotions des acteurs, mais pas pour l'acoustique (dans quelque théâtre que ce soit).jean-didier a écrit :Mon ressenti est à moduler par le fait que du 2e rang (la salle était bien peu remplie), l'acoustique était pourrie de chez pourrie, il n'y avait quasiment pas de violons qui semblaient jouer en sourdine et avec de l'écho et tous les détails orchestraux étaient noyés dans une espèce de bouillie sonore. Je n'avais pas ce souvenir pour les séries précédentes que j'avais vues depuis le 2e balcon ...
jean-didier a écrit :Le public docile, voit le rideau se baisser donc applaudit. Pavlov quand tu nous tiens ...
Re: Dvořák - Rusalka - Hrůša/Carsen - ONP - 04/2015
C'est vrai à l'opéra, où l'orchestre est dans la fosse. C'est différent pour la musique symphonique, les opéras en version de concert avec l'orchestre sur la scène et pour la musque de chambre, à mon humble avis.paco a écrit :oui, il ne faut jamais se forger une opinion sur un orchestre depuis les premiers rangs du parterre, le son y est souvent très différent par rapport au reste de la salle. Ces places sont idéales pour bien voir les visages et les émotions des acteurs, mais pas pour l'acoustique (dans quelque théâtre que ce soit).jean-didier a écrit :Mon ressenti est à moduler par le fait que du 2e rang (la salle était bien peu remplie), l'acoustique était pourrie de chez pourrie, il n'y avait quasiment pas de violons qui semblaient jouer en sourdine et avec de l'écho et tous les détails orchestraux étaient noyés dans une espèce de bouillie sonore. Je n'avais pas ce souvenir pour les séries précédentes que j'avais vues depuis le 2e balcon ...
Re: Dvořák - Rusalka - Hrůša/Carsen - ONP - 04/2015
Une soirée splendide pour moi !
Déjà je découvrais la mise en scène de Carsen, qui parvient parfaitement à faire entrer le fantastique dans un salon bourgeois (contrairement à son Alcina par exemple). Le tout est esthétitquement superlatif, pensé de bout en bout. L'opposition profondeurs/surface du premier acte, le deuxième acte en miroir et le dernier acte déconstruits sont tout aussi convaincants les uns que les autres (le deuxième acte en particulier est aussi beau que violent, et magnifie la musique aussi bien que le livret).
Musicalement, une fosse riche, et toute en tension de Jakub Hrůša qui a parfois tendance à un peu couvrir les chanteurs, mais je dois avouer que la partie orchestrale de Rusalka est si splendide que ça ne me dérange pas vraiment
La Rusalka de Svetlana Aksenova est vraiment très belle. Oui, les aigus sont un peu métalliques, mais complètement assumés. Le chant est d'une âpreté qui convient à la complexité du personnage (et en particulier à la vision de Carsen), le jeu parfait.
Le Prince de Pavel Cernoch est malheureusement un peu plus effacé, mais avec un très joli chant. Souvent trop, trop statique dans son jeu, heureusement que la muse en scène est assez directive. Ses duos avec Rusalka sont magnifiques !
La princesse étrangère de Alisa Kolosov ne m'a pas totalement convaincu au niveau du chant, mais elle incarne bien la femme solaire qui contraste avec l'Ondine lunaire. Il manque une tension entre elle et le prince qui décrédibilisent un peu le fait que le prince laisse tomber Rusalka sur le chant.
Magnifique Ondin de Dimitry Ivashchenko, bouleversant dès qu'il ouvre la bouche, père contrit et désespéré, qui porte dès le début de l'opéra la tristesse de cette fin tragique.
Enfin, la Jezibaba de Larissa Diadkova est très crédible, même si la voix est en effet très usée. M'enfin, pour une sorcière ça va parfaitement ! L'intelligence du texte suffit à donner de la force à son personnage.
Au final, une soirée excellente !
Déjà je découvrais la mise en scène de Carsen, qui parvient parfaitement à faire entrer le fantastique dans un salon bourgeois (contrairement à son Alcina par exemple). Le tout est esthétitquement superlatif, pensé de bout en bout. L'opposition profondeurs/surface du premier acte, le deuxième acte en miroir et le dernier acte déconstruits sont tout aussi convaincants les uns que les autres (le deuxième acte en particulier est aussi beau que violent, et magnifie la musique aussi bien que le livret).
Musicalement, une fosse riche, et toute en tension de Jakub Hrůša qui a parfois tendance à un peu couvrir les chanteurs, mais je dois avouer que la partie orchestrale de Rusalka est si splendide que ça ne me dérange pas vraiment
La Rusalka de Svetlana Aksenova est vraiment très belle. Oui, les aigus sont un peu métalliques, mais complètement assumés. Le chant est d'une âpreté qui convient à la complexité du personnage (et en particulier à la vision de Carsen), le jeu parfait.
Le Prince de Pavel Cernoch est malheureusement un peu plus effacé, mais avec un très joli chant. Souvent trop, trop statique dans son jeu, heureusement que la muse en scène est assez directive. Ses duos avec Rusalka sont magnifiques !
La princesse étrangère de Alisa Kolosov ne m'a pas totalement convaincu au niveau du chant, mais elle incarne bien la femme solaire qui contraste avec l'Ondine lunaire. Il manque une tension entre elle et le prince qui décrédibilisent un peu le fait que le prince laisse tomber Rusalka sur le chant.
Magnifique Ondin de Dimitry Ivashchenko, bouleversant dès qu'il ouvre la bouche, père contrit et désespéré, qui porte dès le début de l'opéra la tristesse de cette fin tragique.
Enfin, la Jezibaba de Larissa Diadkova est très crédible, même si la voix est en effet très usée. M'enfin, pour une sorcière ça va parfaitement ! L'intelligence du texte suffit à donner de la force à son personnage.
Au final, une soirée excellente !
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- Ténor
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Re: Dvořák - Rusalka - Hrůša/Carsen - ONP - 04/2015
Très belle reprise que j'ai vue ce vendredi.
Aksenova ( anciennement Ignatovitch) en Rusalka a une belle voix corsée, une belle émotion et le physique du rôle. Ses aigus sont parfois légèrement métalliques mais pas désagréables pour le moment.
La prestation tout à fait honorable et stylée de Cernoch en Prince.
Diadkova en Ježibaba, habituée de ce rôle depuis 02 à Bastille, forcément un peu usée.
Kolosova en Princesse étrangère accuse une petite faiblesse de l'émission.
Excellente direction de Hrůša, solide et très à l'aise à la fois dans les passages dynamiques et lyriques.
La MES, une de mes Carsen préférées avec son Tannhäuser, ne prend pas une ride 13 ans après sa création.
Aksenova ( anciennement Ignatovitch) en Rusalka a une belle voix corsée, une belle émotion et le physique du rôle. Ses aigus sont parfois légèrement métalliques mais pas désagréables pour le moment.
La prestation tout à fait honorable et stylée de Cernoch en Prince.
Diadkova en Ježibaba, habituée de ce rôle depuis 02 à Bastille, forcément un peu usée.
Kolosova en Princesse étrangère accuse une petite faiblesse de l'émission.
Excellente direction de Hrůša, solide et très à l'aise à la fois dans les passages dynamiques et lyriques.
La MES, une de mes Carsen préférées avec son Tannhäuser, ne prend pas une ride 13 ans après sa création.
Re: Dvořák - Rusalka - Hrůša/Carsen - ONP - 04/2015
Oui, un spectacle admirable, un spectacle qu'on risque malheureusement de ne jamais revoir car ce n'est pas plein. À moins qu'ils ne trouvent une grande star pour interpréter le rôle titre... Mais des grandes stars qui sont capables et qui acceptent de chanter en tchèque, ça ne doit pas courir les rues. J'imagine qu'on ne reverra pas Renée Fleming dans ce rôle.Verdiprati a écrit :
Très belle reprise que j'ai vue ce vendredi.
Aksenova ( anciennement Ignatovitch) en Rusalka a une belle voix corsée, une belle émotion et le physique du rôle. Ses aigus sont parfois légèrement métalliques mais pas désagréables pour le moment.
La prestation tout à fait honorable et stylée de Cernoch en Prince.
Diadkova en Ježibaba, habituée de ce rôle depuis 02 à Bastille, forcément un peu usée.
Kolosova en Princesse étrangère accuse une petite faiblesse de l'émission.
Excellente direction de Hrůša, solide et très à l'aise à la fois dans les passages dynamiques et lyriques.
La MES, une de mes Carsen préférées avec son Tannhäuser, ne prend pas une ride 13 ans après sa création.
Un spectacle qui fait vraiment regretter l'ère Hugues Gall. Rusalka est une nouvelle production de la saison 2001-2002. Au cours de cette saison, il y a eu sept nouvelles productions, outre Rusalka, Attila mise en scène Josée Dayan et Jeanne Moreau, la petite fille aux allumettes de Lachenmann, mise en scène Peter Mussbach, La Khovantchina, mise en scène Andrei Serban, Medea de Rolf Lieberman, mise en scène Jorge Lavelli, Idomeneo mise en scène d'Ivan Fischer, Le Barbier de Séville mise en scène de Coline Serreau.
Donc quatre productions dont on n'a plus guère entendu parler et qui n'ont pas, à ma connaissance été reprises, Attila (un bide monumental), La petite fille (duraille), Medea, et Idomeneo.
Mais trois réussites éclatantes, La Khovantchina d'Andrei Serban, Le barbier de Séville de Coline Serreau, et Rusalka de Carsen. Heureuse époque!
Quand je pense à tous les ratages de ces derniers mois... Faust d'on ne sait même plus qui, qui n'était ni fait ni à faire et qui était un scandale, le Barbier de Séville de Damiano Michieletto, qui ne tiendra pas la route et Tosca de Pierre Audi, qui ne tiendra pas non plus la route.
Faustin
Re: Dvořák - Rusalka - Hrůša/Carsen - ONP - 04/2015
Belle découverte de 2 jeunes chanteurs que j'ai trouvé exceptionnels : Svetlana Aksenova et Pavel Cernoch.
Je n'avais encore jamais réalisé l'aspect Tristanesque de la fin de cette oeuvre.
Pour répondre à Faustin : Fleming à éviter ds le role : la dernière fois que je l'ai entendue c'était au met en 2009 et elle y était difficilement audible. Est ce que Rusalka fait partie des projets d'Anna Netrebko ?
Je n'avais encore jamais réalisé l'aspect Tristanesque de la fin de cette oeuvre.
Pour répondre à Faustin : Fleming à éviter ds le role : la dernière fois que je l'ai entendue c'était au met en 2009 et elle y était difficilement audible. Est ce que Rusalka fait partie des projets d'Anna Netrebko ?
Gruss mir die Welt
Re: Dvořák - Rusalka - Hrůša/Carsen - ONP - 04/2015
Bien d'accord : cette Rusalka est une réussite !
Et si la fin fait penser à Tristan, le début rappelle l'Or du Rhin...
Et si la fin fait penser à Tristan, le début rappelle l'Or du Rhin...
la mélodie est immorale
Nietzsche
Nietzsche