les plaisirs coupables
Re: les plaisirs coupables
Pour rejoindre un autre fil, je m'aperçois que mon plaisir coupable ces temps-ci c'est de ré-écouter (avec plaisir donc !) Bonisolli dans Gustave III à Hambourg (direction Rudel), dans le Duc de Mantoue à Vienne (direction-et censure des suraigus- Muti), dans Pollione à Munich (direction Patané) et dans Don José à San Francisco (direction Adler). Mes lointains souvenirs de lui sur scène (Manrico et Calaf à Londres) en sont ravivés.
Re: les plaisirs coupables
Mais ce plaisir là n'a rien de coupable!
Re: les plaisirs coupables
Et il faudrait poster sur le fil Bonisolli (7 pages, c'est pas mal, mais on peut faire mieux)
Et en plus, pour le coup, les détails m'intéressent beaucoup parce que je ne connais aucun de ces disques.
Et en plus, pour le coup, les détails m'intéressent beaucoup parce que je ne connais aucun de ces disques.
l'enlevement de Clarissa a été un des évènements de ma jeunesse.
Re: les plaisirs coupables
Vu que j'y reviens régulièrement et que ce régulièrement s'est traduit par aujourd'hui, un bel exemple de crossover avec Brel & Trenet, Berstein & Gershwin:
https://www.youtube.com/watch?v=zZ4zJz8lMXY
https://www.youtube.com/watch?v=SkTf0dJxiBg
Et vu que nous sommes pendant le festival de Montpellier , je me souviens que c'est là que nous la découvrimes en première partie (Séverac & Canteloube, magnifiques) de Gundula Janowitz (chiante comme la pluie ce soir là)
https://www.youtube.com/watch?v=zZ4zJz8lMXY
https://www.youtube.com/watch?v=SkTf0dJxiBg
Et vu que nous sommes pendant le festival de Montpellier , je me souviens que c'est là que nous la découvrimes en première partie (Séverac & Canteloube, magnifiques) de Gundula Janowitz (chiante comme la pluie ce soir là)
Re: les plaisirs coupables
Ah, je me rappelle très bien du "Musique au coeur". Comme je ne connais rien en variété française, je me demandais d'où sortaient certains trucs (précisément "Quand on a que l'amour").
l'enlevement de Clarissa a été un des évènements de ma jeunesse.
Re: les plaisirs coupables
Eh ben non figure-toi!
Sans verser dans l'exégèse des saintes écritures (qui n'aurait rien à faire sur notre forum), le plaisir n'y est pas désigné comme devant être une source de culpabilité.
Re: les plaisirs coupables
Absolument pas : je n'ai jamais écouté de variété française, même celle de très grande qualité. Donc, en fait, la première fois (et probablement l'unique fois) où j'ai entendu "Quand on a que l'amour" ... c'était par Françoise Pollet (!) et j'avais 18 ou 20 ans, je ne sais plus.
l'enlevement de Clarissa a été un des évènements de ma jeunesse.
Re: les plaisirs coupables
Pas de variété française, des artistes à la retraite, et pas (ou peu) de spectacle live, ça te fait tout de même un horizon musical assez limité.
Gwyneth Jones, c'est très bien , Scotto aussi, mais il existe aujourd'hui des artistes fort intéressantes qui ont le même répertoire.
Ne pas s'étonner du déclin de l'opéra : si une majorité du public réagit comme ça, les artistes peuvent songer à la reconversion...
Gwyneth Jones, c'est très bien , Scotto aussi, mais il existe aujourd'hui des artistes fort intéressantes qui ont le même répertoire.
Ne pas s'étonner du déclin de l'opéra : si une majorité du public réagit comme ça, les artistes peuvent songer à la reconversion...
Le sommeil de la raison engendre des monstres (Goya)