Il viaggio a Reims au Liceu de Barcelone
Il y aussi un "Viaggio" à Saint Petersbourg, qui, si ma mémoire est bonne doit faire parti de la prochaine saison au TMP : si j'en crois ce que je viens de lire dans le FT, il pourrait s'agir (contre toute attente) d'une production excellente : quelqu'un l'aurait-il vu ?
Montfort
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Eccomi alfine in Babilonia
Il y aussi un "Viaggio" à Saint Petersbourg, qui, si ma mémoire est bonne doit faire parti de la prochaine saison au TMP : si j'en crois ce que je viens de lire dans le FT, il pourrait s'agir (contre toute attente) d'une production excellente : quelqu'un l'aurait-il vu ?
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Eccomi alfine in Babilonia
- LucaGi64
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Désolé pour Ariodante, mais l'enregistrement Abbado I (Pesaro) reste, et de loin, le meilleur. Le point noir de la distribution est Ricciarelli, mais, passé son air d'entrée, elle n'intervient pratiquement plus. Gasdia est un peu faible, mais très correcte; et franchement je me demande qui aurait pu chanter Melibea mieux que Valentini-Terrani!!! Ramey et Cuberli, surtout, sont simplement éblouissants.
Vienne n'est qu'une très médiocre copie, avec Caballé qui semble "inventer" son rôle directement sur scène (et la mes ne vaut pas Pesaro).
L'enregistrement de Berlin n'est intéressant que parce qu'il présente quelques morceaux retrouvés après les représentations de Pesaro; tous les chanteurs sont inférieurs à eux-mêmes; les nouveaux n'égalent pas leurs prédecessuers (sauf Matteuzzi) et MacNair et ses sucreries vocales sont beaucoup plus indigestes que Gasdia.
Quant à la Marseillaise c'est bien entendu un clin d'oeil d'Abbado, ainsi que les quelques notes de Mozart, Haydn, Beethoven et Bach qui accompagnent le récitatif de Trombonok. Il est curieux (et intéressant) d'écouter le même passage enregistré à Berlin: les extraits sont différents (et beaucoup moins populaires), en hommage à l'étendue de la culture musicale des spectateurs allemands.
Vienne n'est qu'une très médiocre copie, avec Caballé qui semble "inventer" son rôle directement sur scène (et la mes ne vaut pas Pesaro).
L'enregistrement de Berlin n'est intéressant que parce qu'il présente quelques morceaux retrouvés après les représentations de Pesaro; tous les chanteurs sont inférieurs à eux-mêmes; les nouveaux n'égalent pas leurs prédecessuers (sauf Matteuzzi) et MacNair et ses sucreries vocales sont beaucoup plus indigestes que Gasdia.
Quant à la Marseillaise c'est bien entendu un clin d'oeil d'Abbado, ainsi que les quelques notes de Mozart, Haydn, Beethoven et Bach qui accompagnent le récitatif de Trombonok. Il est curieux (et intéressant) d'écouter le même passage enregistré à Berlin: les extraits sont différents (et beaucoup moins populaires), en hommage à l'étendue de la culture musicale des spectateurs allemands.
Son vergin vezzosa in vesta di sposa
Son bianca ed umìle qual giglio d'april
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