Benjamin Bernheim
Re: Benjamin Bernheim
En effet, c’est Eric Cutler qui remplace Bernheim, lequel chante au ROH tout début septembre, ce qui explique sans doute ce pb d’agenda.
http://www.mdlg.net/La-Saison/les-contes-dhoffmann/
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- MariaStuarda
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Re: Benjamin Bernheim
Eric Cutler que j’avais adoré dans les Contes madrilènes.
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Re: Benjamin Bernheim
Benjamin Bernheim a livré le programme de son récital (avec Eve-Maud Hubeaux) du 12 novembre à l'Eléphant Paname à Paris
Benjamin Bernheim, ténor
Eve-Maud Hubeaux, mezzo-soprano
Antoine Palloc, piano
PROGRAMME
Henry Février (1875-1957)
Carmosine « Personne ici... toi qui fus douce … » - BB
Jules Massenet (1842-1912)
Manon « En fermant les yeux … » - BB
Gaetano Donizetti (1797-1848)
L’Elixir d’amour « Una furtiva lagrima … » - BB
Giuseppe Verdi (1813-1901)
Luisa Miller «Quando le sere al placido … » - BB
Piotr Ilitch Tchaikovsky (1840-1893)
Eugene Onegin «Kuda, kuda … » - BB
Charles Gounod (1818-1893)
Le Tribut de Zamora « Que puis-je à présent regretter... » - BB
Giuseppe Verdi (1813-1901)
Don Carlo « O don fatale … » - EMH
Benjamin Godard (1849-1895)
Dante « Tout est fini pour moi sur la terre ... » - BB
Jules Massenet (1842-1912)
Werther « Oui, je reviens et pourtant ... Pourquoi me réveiller ... n’achevez pas ...» - BB & EMH
Benjamin Bernheim, ténor
Eve-Maud Hubeaux, mezzo-soprano
Antoine Palloc, piano
PROGRAMME
Henry Février (1875-1957)
Carmosine « Personne ici... toi qui fus douce … » - BB
Jules Massenet (1842-1912)
Manon « En fermant les yeux … » - BB
Gaetano Donizetti (1797-1848)
L’Elixir d’amour « Una furtiva lagrima … » - BB
Giuseppe Verdi (1813-1901)
Luisa Miller «Quando le sere al placido … » - BB
Piotr Ilitch Tchaikovsky (1840-1893)
Eugene Onegin «Kuda, kuda … » - BB
Charles Gounod (1818-1893)
Le Tribut de Zamora « Que puis-je à présent regretter... » - BB
Giuseppe Verdi (1813-1901)
Don Carlo « O don fatale … » - EMH
Benjamin Godard (1849-1895)
Dante « Tout est fini pour moi sur la terre ... » - BB
Jules Massenet (1842-1912)
Werther « Oui, je reviens et pourtant ... Pourquoi me réveiller ... n’achevez pas ...» - BB & EMH
Lui : Que sous mes pieds se déchire la terre ! que sur mon front éclate le tonnerre, je t'aime, Élisabeth ! Le monde est oublié !
Elle : Eh bien ! donc, frappez votre père ! venez, de son meurtre souillé, traîner à l'autel votre mère
Mon blog :
https://passionoperaheleneadam.blogspot.fr
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Re: Benjamin Bernheim
Magnifique !
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Re: Benjamin Bernheim
Et ce soir, Requiem de Verdi en direct du ROH!
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Re: Benjamin Bernheim
Après sa très belle prestation dans ce Requiem de Verdi (voir fil retransmission) toujours disponible à la réécoute, et son prochain concert à l'éléphant Paname, les curieux pourront entendre le ténor deux fois de suite en retransmission depuis Vienne (payant)
- le 8 novembre en Nemorino dans l'Elisir d'amore avec l'Adina de Aida Garifullina
- le 29 novembre en Rodolfo dans la Bohême avec la Mimi de Marina Rebeka
dans les deux cas sous la direction de Speranza Scappucci.
https://www.staatsoperlive.com/en/live/
- le 8 novembre en Nemorino dans l'Elisir d'amore avec l'Adina de Aida Garifullina
- le 29 novembre en Rodolfo dans la Bohême avec la Mimi de Marina Rebeka
dans les deux cas sous la direction de Speranza Scappucci.
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Re: Benjamin Bernheim
Benjamin Bernheim annonce la sortie de son premier album solo chez Deutsche Grammophon où il fait ses débuts. C'est pour le 8 novembre et il y aura notamment des airs d'Alfredo (bientôt à l'affiche à Paris Garnier).
Lui : Que sous mes pieds se déchire la terre ! que sur mon front éclate le tonnerre, je t'aime, Élisabeth ! Le monde est oublié !
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Re: Benjamin Bernheim
Superbe interview de Benjamin Bernheim dans le Monde... J'y reviendrai...
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Re: Benjamin Bernheim
"Né pour être ténor", portrait par Marie-Aude Roux
L'histoire d'une encore très brève carrière (BB a 34 ans) où il failli se laisser enfermer dans le répertoire allemand, avant de décider de manière volontariste d'embrasser plutôt le répertoire italien et surtout français, l'histoire de ses fêlures personnelles aussi puisqu'il n'est pas un "vrai" Bernheim (il est né d'une première union très brève avec son "géniteur" parti très tôt tandis que sa mère épousait un peu plus tard Antoine Bernheim dont elle a depuis, divorcé).
Ses références (Alagna) notamment pour le répertoire français : « J’aimerais y consacrer 70 % de mon répertoire, car c’est là que j’ai le plus à défendre, où je peux donner les plus belles couleurs de ma voix », argue-t-il.
Et son "futur"
"Un avis (sur l'opéra français) partagé par le Metropolitan Opera de New York, qui verra les débuts du ténor dès la saison prochaine et son premier Roméo. Dans la foulée, Gounod encore, avec Faust à l’Opéra de Paris et, à Covent Garden, Les Contes d’Hoffmann, La Damnation de Faust (Berlioz) et, Werther (Massenet), dont il redoute le côté dépressif. Benjamin Bernheim sait qu’un jour, il franchira la ligne des Max (Freischütz, de Weber), Don José (Carmen), ou Cavaradossi (Tosca). « Je connais ma voix, rétorque-t-il aux impatients qui le jugent trop prudent, je viens juste d’arriver, qu’on me laisse en profiter un peu. »
https://www.lemonde.fr/culture/article/ ... _3246.html
L'histoire d'une encore très brève carrière (BB a 34 ans) où il failli se laisser enfermer dans le répertoire allemand, avant de décider de manière volontariste d'embrasser plutôt le répertoire italien et surtout français, l'histoire de ses fêlures personnelles aussi puisqu'il n'est pas un "vrai" Bernheim (il est né d'une première union très brève avec son "géniteur" parti très tôt tandis que sa mère épousait un peu plus tard Antoine Bernheim dont elle a depuis, divorcé).
Ses références (Alagna) notamment pour le répertoire français : « J’aimerais y consacrer 70 % de mon répertoire, car c’est là que j’ai le plus à défendre, où je peux donner les plus belles couleurs de ma voix », argue-t-il.
Et son "futur"
"Un avis (sur l'opéra français) partagé par le Metropolitan Opera de New York, qui verra les débuts du ténor dès la saison prochaine et son premier Roméo. Dans la foulée, Gounod encore, avec Faust à l’Opéra de Paris et, à Covent Garden, Les Contes d’Hoffmann, La Damnation de Faust (Berlioz) et, Werther (Massenet), dont il redoute le côté dépressif. Benjamin Bernheim sait qu’un jour, il franchira la ligne des Max (Freischütz, de Weber), Don José (Carmen), ou Cavaradossi (Tosca). « Je connais ma voix, rétorque-t-il aux impatients qui le jugent trop prudent, je viens juste d’arriver, qu’on me laisse en profiter un peu. »
https://www.lemonde.fr/culture/article/ ... _3246.html
Lui : Que sous mes pieds se déchire la terre ! que sur mon front éclate le tonnerre, je t'aime, Élisabeth ! Le monde est oublié !
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Re: Benjamin Bernheim
Récital Bernheim ce soir 18 octobre à la Grange aux Lacs, retransmis sur radio-classique
https://www.radioclassique.fr/magazine/ ... bkQdBuT39c
Au programme du concert
Benjamin Bernheim, ténor
Orchestre des Pays de Savoie, dir. Nicolas Chalvin
Programme :
Hector Berlioz : Les Nuits d’été, air de Faust « Nature immense » extrait de La Damnation de Faust
Charles Gounod : air de Roméo « L’amour, oui son ardeur » extrait de Roméo et Juliette
Jules Massenet : air de Des Grieux « En fermant les yeux » extrait de Manon
Piotr Tchaïkovsky : air de Lenski « Kuda, kuda » extrait d’Eugène Onéguine
https://www.radioclassique.fr/magazine/ ... bkQdBuT39c
Au programme du concert
Benjamin Bernheim, ténor
Orchestre des Pays de Savoie, dir. Nicolas Chalvin
Programme :
Hector Berlioz : Les Nuits d’été, air de Faust « Nature immense » extrait de La Damnation de Faust
Charles Gounod : air de Roméo « L’amour, oui son ardeur » extrait de Roméo et Juliette
Jules Massenet : air de Des Grieux « En fermant les yeux » extrait de Manon
Piotr Tchaïkovsky : air de Lenski « Kuda, kuda » extrait d’Eugène Onéguine
Lui : Que sous mes pieds se déchire la terre ! que sur mon front éclate le tonnerre, je t'aime, Élisabeth ! Le monde est oublié !
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