SEMIRAMIDE Chatelet octobre 1990
Moi aussi j'ai été fasciné , mais on ne peut pas détacher cet état de grâce ni de Pizzi ni de Horne , ni du grand Ramey .Peleo a écrit :Pas d'accord. Quand j'ai entendu la Semiramide de Caballé sur scène j'étais hypnotisé, quand j'ai écouté l'enregistrement j'ai trouvé qu'elle faisait n'importe quoi ou presque.
Ce soir là (TCE 30 nov 81) la grandiose Caballe n'était pas la plus hypnotisante
Bernard
Sunt lacrymae rerum et mentem mortalia tangunt Énéide I v
Oui en février 89 mais avec Raul Gimenez .jean-didier a écrit :Par la même occasion, je ne vais pas recréer un fil juste pour un petit détail, mais quelqu'un se souvient-il de la Somnambule de June Anderson à Paris dans les années 80. Avec Blake ? Au TCE ? en 86 ?
La mise en scène de Polixa n'était pas des plus subtiles ...mais on n'avait d'yeux ( et d'oreilles ) que pour June sublime avec sa veste de brocart
Bernard
Sunt lacrymae rerum et mentem mortalia tangunt Énéide I v
oui mais ça c'est la magie du timbre et la beauté de ses pianissimi qui en live direct faisaient grande impression et bouchaient les oreilles sur le plan technique.Peleo a écrit :Pas d'accord. Quand j'ai entendu la Semiramide de Caballé sur scène j'étais hypnotisé, quand j'ai écouté l'enregistrement j'ai trouvé qu'elle faisait n'importe quoi ou presque.
Oui sublime , mais j'ai eu vraiment le sentiment que précisément dans cette représentation magique ,Caballe n'était pas comme d'habitude seule à faire ce qu'elle voulait : l'émulation , le concours de chant auquel se livraient ces montres sacrés les a poussé au mieux d'eux mêmes . C'est pour ça que je crois qu'il y a eu un moment particulier dans cette production qui les a tous fait se "transcender" .... même AraizaPeleo a écrit :Certes, mais Horne et Ramey n'étaient pour rien et Pizzi pour pas grand chose dans l'effet qu'a produit sur moi Bel raggio lusinghier.
( je n'ai pas écouté l'enregistrement de Sémiramis avec Caballe , donc je ne sais pas ce que ça donne au disque )
Bernard
Sunt lacrymae rerum et mentem mortalia tangunt Énéide I v
En l’occurrence , Jérôme c'étaient plus les roucoulades et le feu d'artifice que les pianissimi qui m'avaient rendu électrique .jerome a écrit :oui mais ça c'est la magie du timbre et la beauté de ses pianissimi qui en live direct faisaient grande impression et bouchaient les oreilles sur le plan technique.Peleo a écrit :Pas d'accord. Quand j'ai entendu la Semiramide de Caballé sur scène j'étais hypnotisé, quand j'ai écouté l'enregistrement j'ai trouvé qu'elle faisait n'importe quoi ou presque.
Bernard
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On y a déjà répondu : Blake chantait la dernière.quetzal a écrit :Oui en février 89 mais avec Raul Gimenez .jean-didier a écrit :Par la même occasion, je ne vais pas recréer un fil juste pour un petit détail, mais quelqu'un se souvient-il de la Somnambule de June Anderson à Paris dans les années 80. Avec Blake ? Au TCE ? en 86 ?
La mise en scène de Polixa n'était pas des plus subtiles ...mais on n'avait d'yeux ( et d'oreilles ) que pour June sublime avec sa veste de brocart
Bernard
BELLINI SONNAMBULA Anderson Blake Petkov Brown D. Zannini Bogart Catala Diederich T.C.E PARIS 05/03/1989
"Venez armé, l'endroit est désert" (GB Shaw envoyant une invitation pour l'une de ses pièces).