G Farret - Alain Vanzo, le Werther de la salle Garnier (bio)

Biographies, livres historiques et autres bouquins relatifs à l'opéra.
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JdeB
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G Farret - Alain Vanzo, le Werther de la salle Garnier (bio)

Message par JdeB » 14 août 2007, 09:09

Comme il nous l’avait promis, Georges Farret nous a fait l’amitié de nous proposer en avant-première, quelques extraits de son ouvrage biographique sur Alain Vanzo.


Image

Parution : octobre 2007
Prix de vente : 23€


Voici le texte de 4ème de couverture :

Né sur le Rocher de Monaco, ce Prince des ténors français n’envisage pas de carrière lyrique ; il se destine même à la prêtrise. Né avec sa voix, il commence à chanter dans les églises… et les bals-musettes. C’est là, à Aix-les-Bains, que Madame Audouard le remarque et lui fait travailler exclusivement les sons filés pendant trois ans. En 1954, il est révélé par le concours de Canes, ce qui lui ouvre les portes de l’Opéra et de l’Opéra-Comique. Pour le centenaire d’Enrico Caruso, il porte nos couleurs à Naples, Londres, Vienne, Carnegie Hall et le Met suivront naturellement. Comme Tito Schippa, à qui on le compare souvent, il compose mélodies, messes,, une opérette : Pêcheurs d’Etoiles, et un opéra d’après Balzac, Les Chouans
Préfacé par Pierre-Jean Rémy, de l’Académie Française, ce livre retrace les Très Riches Heures d’une carrière atypique : celle d’Alain Vanzo. Ses partenaires : Mady Mesplé, Andrée Esposito, Viorica Cortez et José Van Dam, nous accompagnent, de Lakmé à Lucia, de Mireille à Manon, de Werther (son rôle fétiche) à Carmen, de La Damnation de Faust à Robert le diable. Liliane Berton, Gabriel Bacquier, Georges Prêtre, Serge Baudo, Roberto Alagna et autres apportent des témoignages, souvent drôles, quelquefois poignants, que complètent les études de Lionel Pons et Jean Garbarino.

Georges Farret est journaliste et traducteur à l’Avant-Scène Opéra et Côté Arts.
Il a publié la première étude sur Monserrat Caballé chez Opéra International.
Chez Autres Temps, il a publié deux monographies, Renato Capecchi, le Don Juan d’Aix, en collaboration avec Loïc Mardagent, et Rita Gorr et Ernest Blanc, les Telramund de Bayreuth

Table des matières

PRELUDE
par Pierre-Jean Rémy, de l’Académie Française

CHAPITRE 1
Du Rocher à Paris

CHAPITRE 2
De LAKME à LUCIA avec Mady Mesplé

CHAPITRE 3
De MIREILLE à MANON avec Andrée Esposito

Intermède
Mon pote
par Gabriel Bacquier

CHAPITRE 4
De Naples à New York : un ambassadeur de France

CHAPITRE 5
De WERTHER à CARMEN avec Viorica Cortez

CHAPITRE 6
De LA DAMNATION à ROBERT LE DIABLE avec José Van Dam

CHAPITRE 7
Compositeur et interprète de son temps
par Lionel Pons

POSTLUDE
Aparte
par Jean Garbarino




Quelques extraits, tirés des premières pages…
(Fin de la préface)
Cette carrière, d'une belle longévité, Georges Farret nous la raconte avec une érudition qui n'a d'égale que sa passion. Cette érudition, nous la connaissions déjà -et les remarques qu'il a eu la gentillesse de nous faire un jour sur l'un de nos ouvrages ont été fort utiles pour sa réimpression! Mais nous la connaissons surtout par son beau livre consacré à deux voix essentielles dans cette période où il fut longtemps de bon ton d'affirmer sentencieusement que l'Opéra de Paris et le français tout entier, le chant français traversait une période grise. Son RITA GORR ET ERNEST BLANC est venu nous rappeler, s'il en était besoin, que l'Ortrud et le Telramund de 1959 à Bayreuth furent aussi de formidables chanteurs wagnériens.
Grâce à Georges Farret, on peut prendre aujourd'hui toute la mesure d'une carrière qui, jusqu'aux derniers concerts des années quatre-vingt dix, tient une place de premier pan dans l'histoire de l'Opéra de Paris, certes, mais aussi dans celle du chant français dans la deuxième moitié du Xème siècle.


Pierre-Jean REMY,
de l'Académie française


CHAPITRE 1
DU ROCHER A PARIS
Artiste tu étais le plus grand, tu es le plus grand. car le sillon, la trace que tu as creusés dans nos coeurs ne nous fera jamais oublier la voix de soleil, de lumière que le ciel t'a donnée. Tu es en quelque sorte le messager de l'amour, le porteur de bonheur. La vibration que ta merveilleuse voix émettait allait de la terre jusqu’au ciel dans une somptueuse transcendance. La voix de la terre mixée à celle du ciel, la plus belle construction vocale offerte aux hommes et venant ou touchant une puissance supérieure.
Tu es arrivé au bout de ton chemin terrestre pour retourner vers cette puissance et et devenir une étoile que nous continuerons à contempler en la priant de nous protéger.

Gérard Chapuis, Eloge funèbre, église de Gournau-sur-Marne, 1er février 2002.

2002. l'église de Gournav-sur-Marne, à quelques encablures de la Ville-Lumière, est trop petite pour contenir tous ceux qui ont voulu saluer l'homme. l'artiste, le camarade. Ce dimanche 27 janvier, en la clinique de Montfermeil, une hémorragie cérébrale, survenue deux mois plus tôt, a emporté Alain Vanzo. Une fois encore, il fait la "une" des quotidiens en de larges manchettes : "Le chaînon entre Thill et Alagna (LE FIGARO). "Une des gloires lyriques de l'après-guerre (LE MONDE.) Trois mois avant, à 73 ans, il a fait vibrer le public marseillais avec un ANDRE CHENIER vainqueur...

Vanzo chantait conme il parlait, d'une voix naturellement placée, jamais exposée au péril du sombrage expressif, soutenue par un souffle malléable autorisant mélange des registres et falsetto charmeur. L’épée de lumière de ses aigus comme les caresses d'un ineffable legato faisaient de ce Gérald inégalé un Roméo et un Des Grieux anthologiques, à côté de notables HUGUENOTS et de romantiques Italiens d'une rare élégance.
Jean Cabourg in DIAPASON, mars 2002. p. 12.

Il n'est plus! diront ses compagnons en larmes. Et les anges du ciel répondront : Il dort. Il vit: vous l'écoutez sur vos platines, vous le tenez entre vos mains ... Mettons-nous volontiers sous les auspices de ce ROMEO de Gounod qu'il a tant servi pour vous narrer l'histoire d'Alain Vanzo. Trois Dames de la Nuit, représentant trois facettes du chant français, lui ont été particulièrement associées: la coloratura Mady Mesplé, la soprano lyrique Andrée Esposito et la mezzo-soprano Viorica Cortez. Elles vont nous accompagner en ce périple enchanté: double parcours, à la fois thématique et chronologique.

¤¤¤¤

Monte-Carlo

Une principauté d'opérette: la relève de la garde sur le Rocher. les premiers bains de mer de la Belle Epoque et ses élégantes, ses flambeurs aussi, avidement attablés au tapis vert que leur déroule le Casino. "Par les moustaches de Plekszy-Gladz!" Sommes-nous dans la Syldavie d'Hergé, ou bien dans le Gérolstein d'Offenbach ? Face à la Grande Bleue se dresse son Opéra. Une délirante salle de 600 places, inaugurée le 25 janvier 1879, soit quatre ans seulement après le "Grand-Opéra" de Paris. Un architecte commun: Charles Garnier. Pas de doute: nous sommes bel et bien à Monte-Carlo. Depuis 1893. Raoul de Gunsbourg dirige cette "Petite Boutique" et il n'en lâchera les rênes qu'en 1951. CENT ANS DE SOUVENIRS ... OU PRESQUE.

Le décor planté, le brigadier frappe ses trois coups. le rideau rouge s'écarte: cerné par les sunlights, le ténor peut faire son entrée. En cet An de Grâces 1928, et en ce 2 ar-il -le Bélier sera têtu-, nous nous trouvons en la Maternité de l'Hôpital de Monte-Carlo. Il est 8h 10. On s'en doute, les vagissements de Fernand, Albert Vanzo seront moins harmonieux que les son qu'il produira ensuite sous le pseudonyme d'Alain! Ses arrière-grands-parents ont quitté leur Tyrol d'origine lorsque celui-ci est devenu italien. Ne voulant pas de cette nationalité, ils sont naturalisés francais bien avant la guerre de 14-18. C'est l'Europe avant l'heure.

A 26 ans. Mario Vanzo est un homme heureux: né italien à Cavalese, il a épousé Victoire Corniolo, de cinq ans sa cadette, originaire de Menton. Il tient dans ses bras son fils, rejoint bientôt, avec une belle régularité, par Edmonde et Jeanine -un an et demi d'écart, chaque fois. Infirmier-masseur à l’Hôpital de Monaco, il s'établira plus tard à son compte, efficacement secondé par sa compagne. Le foyer s’épanouit à Beausoleil,jusque vers les années 1941-42.
Le petit Fernand poursuit ses études auprès des Frères de Saint-Charles : il est en classe un élève très appliqué, non dissipé; comme des Grieux, il caressera même un temps la prêtrise. "Quand on est jeune, l'ambiance liturgique est bénéfique, équilibrante". confie-t-il. Ce qui l'intéresse surtout, en réalité, c'est la musique. Tout petit, il imite le sifflet du trajn. Comme l’italien qu'il n'a jamais appris, mais qui coule dans ses veines, il ne travaille pas le piano avec un professeur, mais seul, et en joue. Naturellement. Pour son 9e anniversaire, on le lui offert, ce piano: très vite, il est capable d'en reproduire tous les sons.

C'est très long à expliquer, et très rapide à comprendre. Je n'ai aucune formation musicale. Propos recueillis par E-G. Souquet in OPERA POUR TOUS. No 2, février 1987. p. 6.

Plus de cinquante ans après, sa soeur Jeanine se souvient :

C'était toujours la joie à la maison. Nous étions une famille très musicienne, mais autodidacte. Mon frère chantait en jouant du piano, papa à la guitare ou mandoline, maman chantait avec notre sœur Edmonde qui avait une voix de soprano. Quant à moi, je dansais.
Lettre du 25 janvier 2006.

Le chant ? Il est né avec sa voix. A 6 ans, passant sans difficulté de l'école à l’église attenante, il chante avec les choeurs et comme soprano solo: la maîtrise pourvoit aux Vêpres et autres services religieux de l'Eglise Saint-Charles de Monaco. Cette discipline qu'il rencontre dans la manécanterie -et qui fait toujours la force des pays anglo-saxons-, il s'y pliera tout au long de sa carrière, lorsqu'il sera devenu Alain Vanzo. Arturo Toscanini ne répétait-il pas à Teresa Stick-Randall : "N'oublie jamais que l'artiste est le serviteur. et non le seigneur"?

J'ai gardé ma voix de haute-contre jusqu'à dix-sept ans environ. Sans attendre d'avoir mué complètement. j'ai créé, à l'âge de dix-huit ans. un orchestre de variétés à Aix-les-Bains.
Propos recueillis par. Jean Gourret in ENTRETIENS SUR LE CHANT AVEC ... Paris, 1975, p. 32.


Aix-les-Bains

Car la guerre a éclaté: les temps sont durs, et la famille Vanzo s'est établie en Savoie. Le futur ténor rejoint la soeur de sa mère et sa famille, également réfugiée. Jusqu'à l'âge de quinze ans, il laboure la terre avec les paysans. En 1945-46, il travaille à l'hôtel Belley à Saint-Genix-sur-Guiers, où le propriétaire, à la voix de basse sensationnelle, l’emmène :faire des concerts à La Biolle, Boncelin... Avant même d'accomplir son service militaire, à Chambéry, il parcourt les villes d'eaux. Pour animer les bals de la région, il crée avec des amis un trio musette, l'Albert's Jazz. Puis le Bastringue. Au saxophone, Auguste Lama ; à la batterie, .Albert Curtelin, à l'accordéon diatonique, Alain Vanzo. Fernand s'est transformé en Alain -"Fernand, cela fait Fernand d'Elle ou Fernandel!" plaisante-t-il toujours. L'année suivante, à la tête de son orchestre, il assure la saison du Petit Casino d’Aix-les-Bains, passant de l'accordéon au piano, puis à la batterie. Ses cachets sont modestes, mais cela lui permet d’aider sa famille.
[….]
NB : la mise en ligne sur ODB ne respecte pas la mise en page du livre. Toute coquille résiduelle sera de notre fait... (L'OCRisation n'est pas parfaite à 100% et les yeux peuvent être distraits ! :wink: )

Le livre comprendra 16 pages de photos(NB et couleurs), dont

Image

Photographies (c) DR
Textes (c) Pierre-Jean Rémy et Georges Farret / Editions Autres Temps



Chez le même éditeur, Autres Temps, on pourra également trouver un
Luigi Alva, l’Almaviva de la Scala
avec une préface de Javier Perez de Cuellar.
Date de parution : mai 2008
Parution de ma biographie "Régine Crespin, La vie et le chant d'une femme" ! Extraits sur https://reginecrespinbiographie.blogspot.com/
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Message par JdeB » 27 sept. 2007, 16:21

La sortie du livre de Georges Farret sur Alain Vanzo sera sans doute repoussée au début de l'année 2008.
Parution de ma biographie "Régine Crespin, La vie et le chant d'une femme" ! Extraits sur https://reginecrespinbiographie.blogspot.com/
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Message par Polyeucte » 28 sept. 2007, 13:44

Dommage que ce soit repoussé...

Mais on parle de lui comme DU Werther de ces dernières décennies... Hors, j'ai beau chercher, je n'ai pas réussi à trouver un enregistrement de lui dans ce rôle... serait-ce qu'il n'a jamais eu droit aux faveurs du studio pour ce rôle?
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Message par JdeB » 28 sept. 2007, 14:01

Polyeucte a écrit :Dommage que ce soit repoussé...

Mais on parle de lui comme DU Werther de ces dernières décennies... Hors, j'ai beau chercher, je n'ai pas réussi à trouver un enregistrement de lui dans ce rôle... serait-ce qu'il n'a jamais eu droit aux faveurs du studio pour ce rôle?
non :cry: Quand on pense que, pour ne citer que ses confrères de l'époque, G. Chauvet, A. Lance, B. Marti et J. Brazzi ont enregistré des extraits de cet opéra en studio...

Il existe cependant un live de lui dans ce rôle
Werther
A. Vanzo, F. Arrauzau, Y. Bisson, D. Chlostawa, JL Soumagnas
Paris, mars 1978
P. Dervaux
CD Gala
(en bonus, des extraits de Werther avec Corelli, Ludwig dir. Lombard, Met 27/2/1971)

effectivement, Vanzo n'avait qu'un rival en Werther, A. Kraus.
J., qui a entendu l'un des derniers Werther de Vanzo à Nîmes, le 7 décembre 1986, avec M. Dupuy, K. Lee, R. Franc, et un jeune débutant : M. Barrard
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Message par Polyeucte » 28 sept. 2007, 14:09

JdeB a écrit : Il existe cependant un live de lui dans ce rôle
Werther
A. Vanzo, F. Arrauzau, Y. Bisson, D. Chlostawa, JL Soumagnas
Paris, mars 1978
P. Dervaux
CD Gala
(en bonus, des extraits de Werther avec Corelli, Ludwig dir. Lombard, Met 27/2/1971)
Merci!:D

Et l'entourage est au niveau de Vanzo (ou du moins ne plombe pas l'enregistrement... :?)?
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Message par JdeB » 28 sept. 2007, 14:10

Je coche la réponse b. :wink:
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Message par Polyeucte » 28 sept. 2007, 14:14

JdeB a écrit :Je coche la réponse b. :wink:
:cry: :cry:

Dans le livre de Georges Farret sur Gorr et Blanc, il déplore d'ailleurs que Gorr n'ait pas attendu un peu pour faire son enregistrement car elle aurait peut-être peu avoir Vanzo en Werther... mais lorsque ce dernier a commencé, elle aurait peut-être été un peu âgée pour faire Charlotte... dommage car du coup, on se trouve avec une belle Charlotte, mais un Werther moyen de Lance et un Werther magnifique de Vanzo mais une distribution moyenne autour... :tears:
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Message par JdeB » 28 sept. 2007, 14:23

Ce n'est encore qu'un projet mais j'ai, grâce à G. Farret, des contacts qui permettront peut-être d'aboutir à des rencontres ODB avec M. Mesplé, R. Gorr et L. Alva. On songe aussi à T. Berganza en mai et à d'autres artistes plus jeunes dont A. Massis.

En outre, G. Farret publiera sur ODB, très bientôt, des dossiers sur R. Massard et V. Zeani.
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Message par Polyeucte » 28 sept. 2007, 14:31

JdeB a écrit :Ce n'est encore qu'un projet mais j'ai, grâce à G. Farret, des contacts qui permettront peut-être d'aboutir à des rencontres ODB avec M. Mesplé, R. Gorr et L. Alva. On songe aussi à T. Berganza en mai et à d'autres artistes plus jeunes dont A. Massis.

:w00t: Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii!
Bon, j'aimerais bien voir les autres, mais Rita!! :pray:
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Message par Catherine » 28 sept. 2007, 19:30

Polyeucte a écrit :
JdeB a écrit : Il existe cependant un live de lui dans ce rôle
Werther
A. Vanzo, F. Arrauzau, Y. Bisson, D. Chlostawa, JL Soumagnas
Paris, mars 1978
P. Dervaux
CD Gala
(en bonus, des extraits de Werther avec Corelli, Ludwig dir. Lombard, Met 27/2/1971)
Merci!:D

Et l'entourage est au niveau de Vanzo (ou du moins ne plombe pas l'enregistrement... :?)?
Je coche la réponse a ! Francine Arrauzau, trop tôt disparue, est une fabuleuse Charlotte, une des meilleures que j'ai jamais entendu.

Ce Werther est à se procurer de toute urgence, à écouter en boucle et à chérir.
Et, ce qui ne gate rien, un des enfants du bailly est interprété par un ODBien, très jeune à l'époque...

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