Verdi et vous (on se dit tout)
Re: Verdi et vous (on se dit tout)
oui, moi j'aimerais bien qu'on revienne à Verdi et dans des fils moins fourre-tout
Parution de ma biographie "Régine Crespin, La vie et le chant d'une femme" ! Extraits sur https://reginecrespinbiographie.blogspot.com/
Odb-opéra
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Re: Verdi et vous (on se dit tout)
Si l'astrologie donne à penser, je suis Balance et de surcroît, plongeur j'ai appris à avoir l'oreille flottante
Bernard
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Sunt lacrymae rerum et mentem mortalia tangunt Énéide I v
Re: Verdi et vous (on se dit tout)
Vertu cardinale sur ODB !
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Re: Verdi et vous (on se dit tout)
"Tout est bien alors, tout est bien" (Carmen, Acte 2 ou 3 je ne sais plus : j'adore quand Berganza dit cela au disque)
Mais rassures toi aussi, je ne mettais pas en doute ton côté sympa (juste ton comportement dictatorial agressivo-moqueur insupportable )
Avec plaisir pour discuter de visu , façon Tribune des Critiques de Disque ancienne version, avec mauvaise foi et hurlements
Mais rassures toi aussi, je ne mettais pas en doute ton côté sympa (juste ton comportement dictatorial agressivo-moqueur insupportable )
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Re: Verdi et vous (on se dit tout)
Lois-Orphée complètement perdu dans le fil prend sa harpe et chante:
J'ai perdu mon Giuseppe ,
Rien n'egale mon malheur
Sort cruel! quelle rigueur!
Rien n'egale mon malheur!
Je succombe à ma douleur!
Giuseppe! Giuseppe!
Reponds, quel supplice!
Reponds-moi!
J'ai perdu mon Giuseppe ,
Rien n'egale mon malheur
Sort cruel! quelle rigueur!
Rien n'egale mon malheur!
Je succombe à ma douleur!
Giuseppe! Giuseppe!
Reponds, quel supplice!
Reponds-moi!
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Re: Verdi et vous (on se dit tout)
Pour en revenir à Giuseppe alors, dans quel(s) passage vous fait-il le plus pleurer ?
Pour moi c'est l'ouverture de la Traviata. C'est systématique, les larmes viennent assez vite.
De tristesse, de bonheur triste, de mélancolie. De beauté.
Et mine de rien, à de nombreux moments, ça fait beaucoup de bien de pleurer !
Merci Giuseppe.
Re: Verdi et vous (on se dit tout)
Je comptais justement ouvrir un fil sur les émotions à l'opéra, ça pourrait être intéressant, peut-être ?MezzoPower a écrit : ↑11 août 2017, 18:14Pour en revenir à Giuseppe alors, dans quel(s) passage vous fait-il le plus pleurer ?
Pour moi c'est l'ouverture de la Traviata. C'est systématique, les larmes viennent assez vite.
De tristesse, de bonheur triste, de mélancolie. De beauté.
Et mine de rien, à de nombreux moments, ça fait beaucoup de bien de pleurer !
Merci Giuseppe.
Je pleure assez peu (en tout cas, en salle, ça se compte sur les doigts d'une main), mais je frissonne beaucoup. Les finals des actes ou des opéras de Verdi me font en général beaucoup d'effets. Ensuite, ça dépend beaucoup des chanteurs et des chefs.
L'ouverture de La Traviata, oui, ça me fait aussi plonger dans une sorte de tristesse étrange.
Si, la dernière scène d'Otello, la première fois que je l'ai entendue, j'étais complètement en larmes.
Et le final d'Un ballo in maschera... La ligne du ténor, ce lyrisme, ce désespoir, ce « il aurait simplement fallu attendre quelques minutes et tout était bien qui finissait bien », ça m'avait déchiré (et mouillé les yeux).
« Life’s but a walking shadow, a poor player / That struts and frets his hour upon the stage / And then is heard no more. It is a tale / Told by an idiot, full of sound and fury, / Signifying nothing. »
— Shakespeare, Macbeth
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Re: Verdi et vous (on se dit tout)
L'ultime scène de Rigoletto. Je pleure toujours. Rien à faire. Quels que soient les interprètes (et le chef, la partie orchestrale est pour beaucoup dans l'émotion créée).MezzoPower a écrit : ↑11 août 2017, 18:14Pour en revenir à Giuseppe alors, dans quel(s) passage vous fait-il le plus pleurer ?
Pour moi c'est l'ouverture de la Traviata. C'est systématique, les larmes viennent assez vite.
De tristesse, de bonheur triste, de mélancolie. De beauté.
Et mine de rien, à de nombreux moments, ça fait beaucoup de bien de pleurer !
Merci Giuseppe.
D'autres scène aussi mais là ça dépend des interprètes : la dernière de la Traviata ou d'Otello en effet. Ou de Don Carlo d'ailleurs... je crois que les "finals" de Verdi sont toujours très lacrymaux...(pas sûre qu'on dit comme ça )
Lui : Que sous mes pieds se déchire la terre ! que sur mon front éclate le tonnerre, je t'aime, Élisabeth ! Le monde est oublié !
Elle : Eh bien ! donc, frappez votre père ! venez, de son meurtre souillé, traîner à l'autel votre mère
Mon blog :
https://passionoperaheleneadam.blogspot.fr
Elle : Eh bien ! donc, frappez votre père ! venez, de son meurtre souillé, traîner à l'autel votre mère
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Re: Verdi et vous (on se dit tout)
HELENE ADAM a écrit : ↑11 août 2017, 18:38L'ultime scène de Rigoletto. Je pleure toujours. Rien à faire. Quels que soient les interprètes (et le chef, la partie orchestrale est pour beaucoup dans l'émotion créée).MezzoPower a écrit : ↑11 août 2017, 18:14Pour en revenir à Giuseppe alors, dans quel(s) passage vous fait-il le plus pleurer ?
Pour moi c'est l'ouverture de la Traviata. C'est systématique, les larmes viennent assez vite.
De tristesse, de bonheur triste, de mélancolie. De beauté.
Et mine de rien, à de nombreux moments, ça fait beaucoup de bien de pleurer !
Merci Giuseppe.
C'est seulement lorsque je l'ai écoutée avec Bastianini et Scotto que j'ai pleuré. Mais les dernières paroles de Rigoletto et les derniers accords, c'est toujours bouleversants...
« Life’s but a walking shadow, a poor player / That struts and frets his hour upon the stage / And then is heard no more. It is a tale / Told by an idiot, full of sound and fury, / Signifying nothing. »
— Shakespeare, Macbeth
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Re: Verdi et vous (on se dit tout)
Je ne trouve pas Verdi lacrymogène mais à de nombreuses reprises les poils se dressent indépendamment de l'interprétation: les premières mesures de Rigoletto ou d'Attila, le "piangi piangi" dans le duo avant la scène finale de Luisa Miller, "nel livido fango" d'Otello, la grande scène deBoccanegra et le "figlia" extasié du même BoccanegraMezzoPower a écrit : ↑11 août 2017, 18:14Pour en revenir à Giuseppe alors, dans quel(s) passage vous fait-il le plus pleurer ?
Pour moi c'est l'ouverture de la Traviata. C'est systématique, les larmes viennent assez vite.
De tristesse, de bonheur triste, de mélancolie. De beauté.
Et mine de rien, à de nombreux moments, ça fait beaucoup de bien de pleurer !
Merci Giuseppe.