Bernard C a écrit : ↑07 janv. 2019, 14:32Je raffole de ce fragment où elle analyse un des spectacles montés par le signor Castellucci :Oylandoy a écrit : ↑07 janv. 2019, 14:03Géniâââl !Bernard C a écrit : ↑07 janv. 2019, 12:33Il faut lire ça ( au moins un bout, je ne suis pas allé jusqu'à la fin ça m'a saoulé avant).
C'est une gâterie de l'Opéra national de Paris
https://www.operadeparis.fr/magazine/un ... &utm_term=_
Bernard
Absolument géniââl...
"Le risus paschalis généré par Sul concetto di volto nel Figlio di Dio (2010) tient également du tragique. Entre le regard intense du Christ, représenté dans un agrandissement gigantesque du Salvator Mundi d’Antonello de Messine, et le spectateur s’impose l’immersion hyperbolique dans les excréments d’un vieux père incontinent assisté avec amour par son fils. Cette morphologie de la dispersion (les excréments), construite selon la syntaxe d’un gag comique policé, touche une angoisse qui ne peut disparaître (non liquet) sauf dans l’abjection du corps et dans ses symptômes, élevés à une sublime interrogation sur l’homme et sur sa caducité"
Ça devait être quelque chose comme " immersion hyperbolique " !
Bernard
Antonello da Messina, Salvator Mundi
Ce que l’on conçoit bien s’énonce clairement,
Et les mots pour le dire arrivent aisément.
Surtout, qu’en vos écrits la langue révérée
Dans vos plus grands excès vous soit toujours sacrée.
En vain vous me frappez d’un son mélodieux,
Si le terme est impropre, ou le tour vicieux ETC