Art lyrique et homosexualité : un microcosme ?

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Adalbéron
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Re: Art lyrique et homosexualité : un microcosme ?

Message par Adalbéron » 16 août 2017, 11:06

En bref, le Grubicar est l'unité du vertige.
« Life’s but a walking shadow, a poor player / That struts and frets his hour upon the stage / And then is heard no more. It is a tale / Told by an idiot, full of sound and fury, / Signifying nothing. »
— Shakespeare, Macbeth

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Loïs
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Re: Art lyrique et homosexualité : un microcosme ?

Message par Loïs » 16 août 2017, 11:20

Adalbéron a écrit :
16 août 2017, 11:06
En bref, le Grubicar est l'unité du vertige.
Tu veux dire du veStige? (je deviens l'enfant naturel de Placido & Stefano, mama mia)

romance
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Re: Art lyrique et homosexualité : un microcosme ?

Message par romance » 16 août 2017, 11:42

Loïs a écrit :
16 août 2017, 11:20
Adalbéron a écrit :
16 août 2017, 11:06
En bref, le Grubicar est l'unité du vertige.
Tu veux dire du veStige? (je deviens l'enfant naturel de Placido & Stefano, mama mia)
Ô ! Sachant que rien n'est plus visité qu'un vestige.

Puis-je ajouter que le Grubicar (masc) est donc l' Unité de ver/s/tige procuré par l’Objet Vocal Cosmique qui nous occupe ?

Que, si j'ai compris Paul, la Grubicar (fém) est le véhicule mental (avec de très importantes connections spirituelles, essentiellement délivrées par Skipy) permettant aux adeptes et aux adeptes seuls, de graviter autour de l’O.V.C. Il est équipé d’un système de détection d’hérétiques de tout poil ; les chauves n’y couperont pas, ils seront eux-aussi inévitablement expulsés vers la Suther-Land, pour y purger leur peine de lèse-Majesté.
Enfin, dans la Grubicar, où règnera la joie la plus haute, se mêleront des perruques, des drapeaux, (sans omettre les pastilles pour la voix), afin d’honorer aussi dignement que possible, la déesse émettrice du fameux Grubicar (marque déposée par ODB). C'est cela ?

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Re: Art lyrique et homosexualité : un microcosme ?

Message par altini » 16 août 2017, 12:15

On se croirait dans le Tannhäuser mis en scène par Castellucci. :Jumpy:

romance
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Re: Art lyrique et homosexualité : un microcosme ?

Message par romance » 16 août 2017, 12:58

L'humour, le second degré (et parfois plus), n'est-ce pas le recul nécessaire pour apprendre à en rire plutôt etc... ?

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Re: Art lyrique et homosexualité : un microcosme ?

Message par MariaStuarda » 16 août 2017, 13:02

romance a écrit :
16 août 2017, 12:58
L'humour, le second degré (et parfois plus), n'est-ce pas le recul nécessaire pour apprendre à en rire plutôt etc... ?
Pas compris !

romance
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Re: Art lyrique et homosexualité : un microcosme ?

Message par romance » 16 août 2017, 13:07

Prendre le recul nécessaire pour rire, même de soi, n'est-ce pas le meilleur moyen de ne pas pleurer sur ce qui nous heurte, nous blesse ? Je finis l'expression ... Pour en rire, plutôt que d'en pleurer... ;-)

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Re: Art lyrique et homosexualité : un microcosme ?

Message par MariaStuarda » 16 août 2017, 13:15

effacé et renvoyé au fil Grubie

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Re: Art lyrique et homosexualité : un microcosme ?

Message par EdeB » 16 août 2017, 15:15

romance a écrit :
16 août 2017, 11:42
Loïs a écrit :
16 août 2017, 11:20
Adalbéron a écrit :
16 août 2017, 11:06
En bref, le Grubicar est l'unité du vertige.
Tu veux dire du veStige? (je deviens l'enfant naturel de Placido & Stefano, mama mia)
Ô ! Sachant que rien n'est plus visité qu'un vestige.

Puis-je ajouter que le Grubicar (masc) est donc l' Unité de ver/s/tige procuré par l’Objet Vocal Cosmique qui nous occupe ?

Que, si j'ai compris Paul, la Grubicar (fém) est le véhicule mental (avec de très importantes connections spirituelles, essentiellement délivrées par Skipy) permettant aux adeptes et aux adeptes seuls, de graviter autour de l’O.V.C. Il est équipé d’un système de détection d’hérétiques de tout poil ; les chauves n’y couperont pas, ils seront eux-aussi inévitablement expulsés vers la Suther-Land, pour y purger leur peine de lèse-Majesté.
Enfin, dans la Grubicar, où règnera la joie la plus haute, se mêleront des perruques, des drapeaux, (sans omettre les pastilles pour la voix), afin d’honorer aussi dignement que possible, la déesse émettrice du fameux Grubicar (marque déposée par ODB). C'est cela ?
Mon Dieu ! Je pense que j'ai raté mes études. J'aurais dû faire ingénierie en Grubicar et intituler mon mémoire Cantatrix Sopranica G... Vertigineux. Je dois être galactiquement stupide (comme Lois Lane)*.

* Seules les 2,8 fans de la très vieille série Lois & Clark: The New Adventures of Superman comprendront.
Une monstrueuse aberration fait croire aux hommes que le langage est né pour faciliter leurs relations mutuelles. - M. Leiris
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Re: Art lyrique et homosexualité : un microcosme ?

Message par Ange_de_feu » 16 août 2017, 15:43

cosimus a écrit :
12 août 2017, 13:15
JdeB a écrit :
12 août 2017, 12:55
cosimus a écrit :
12 août 2017, 12:49
HELENE ADAM a écrit :
12 août 2017, 10:41
Le pourcentage de gays au festival de Bayreuth est important, surtout parmi ceux qui en rendent compte régulièrement depuis des années (voire quelques décennies pour certains), et pour qui cela représente presque une sorte de pèlerinage sur la Colline. Le coup de foudre date souvent de la fameuse mise en scène du Ring par Chéreau...Une lecture différente de Wagner :wink:
Ce n'est vraiment pas l'impression que j'ai eue ces 36 dernières années. En tout cas cela ne m'a pas sauté aux yeux contrairement à certaines soirées parisiennes à Garnier ou ailleurs. Je parle du public "banal" et non pas des critiques ou blogueurs que je ne connais guère. j'ouvrirai davantage les yeux la semaine prochaine :wink:
Je ne suis allé à Bayreuth qu'une fois mais j'ai toujours trouvé aussi que Wagner attirait peu les gays.
Tu nous diras
Une explication banale qui va peut-être amener des contradicteurs: les 10 opéras de Wagner que l'on donne tour à tour à Bayreuth manquent de vocalises et autres trilles même s'ils demandent des performances vocales indéniables. Ce n'est pas du Bel Canto :)
Trilles? Mais Brünnhilde dans son "Hojotoho", c'est quoi? Ou bien les vocalises des filles du Rhin, les filles-fleurs etc...

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