David-Opera a écrit :Ma méthode de présentation montre de façon immédiate quelles maisons tendent à représenter de manière aussi équitable que possible l'ensemble du répertoire, en évitant de trop grands écarts entre un Puccini et un Britten, par exemple, et quelles maisons préfèrent exploiter un répertoire limité mais très rentable, pour ne laisser qu'une part plus réduire au reste du répertoire, toute proportion gardée bien entendu.quetzal a écrit : Non, pas du tout je n'ai pas le temps de développer , mais le premier tableau présenté par David est méthodologiquement aberrant.
Bernard
( désolé d'être si cursif)
Elle montre aussi, de façon instantanée, l'impact de la langue du pays sur le répertoire - on s'en doutait, mais ici, cela devient très parlant -, et fait ressortir des œuvres, dans certaines maisons, que l'on n'attend pas forcément (il y a plus de bel canto à Munich qu'à La Scala, par exemple).
Ce qui part du présupposé qu'un théâtre devrait donner autant de titre de Puccini que de Zimmermann. Or comme ce paresseux n'en a fait qu'un ...